Bivouac

De Mi caja de notas

R&D paquetage optimisation sailing bag hiver 2022

Source Chillowé par Castor Fougueux fondateur 2022-06-07 Castor Fougueux : 10 indispensables pour le bivouac

« Ton papa, il est magicien ? Il a pris toutes les étoiles du ciel pour les mettre au-dessus de ta tente. ». Avec les beaux jours, on prend le pari que ce sera la catchline séduction de 2022. Alors si vous hésitiez à vous laisser séduire par le bivouac, c’est le moment de passer à l’action. De nombreuses approches sont possibles : la nuit dans le jardin en mode nano-aventure. La micro-aventure sur un week-end ou la semaine de bivouac en itinérance pour les plus entreprenants. Voici 10 produits indispensables pour le bivouac qu’on vous recommande les yeux fermés.


Sommaire

  • Une tente MSR
  • Un sac de couchage Sea to Summit
  • Un matelas Nemo
  • Le kit de survie Care Plus
  • Une popote Primus
  • Un Opinel Tradition n°8
  • Un réchaud Jetboil
  • Une gourde Hydro Flask
  • Une lampe frontale Petzl
  • Un pack végétarien Trek’N eat

Tente MSR

La Hubba Hubba est la tente mythique de MSR. C’est la tente mythique tout court d’ailleurs. Elles s’est imposée dans les sacs à dos notamment grâce à son rapport poids/solidité/prix intouchable. Cette tente 3 saisons, facile à monter, spacieuse (comme peut l’être une tente), vous apportera le gîte que vous partiez un week-end dans le Morvan ou 10 jours sur le GR10. Ne craignez plus la météo, la géométrie et les matériaux de la Hubba Hubba vous protégeront sans concession du vent, de la pluie et des fortes chaleurs. Alors, elle vous tente ?

tente montagne

Les +

Ultralégère : 1,54kg (sans son sac), votre dos appréciera Montage et pliage facile : ça compte quand il faut répéter les mêmes gestes tous les soirs Confortable : à l’aise pour 2 personnes Résistante : matériaux et revêtement de pointe (Staydry, ripstop)

Un sac de couchage Sea to Summit

Le Spark SpIII peut vous faire rêver grâce à son poids (665 g) et ses performances thermiques éprouvées dans des conditions déjà rudes. Et comme la clé est de maintenir la chaleur générée par le corps, ce duvet est en forme momie profilée et a une fermeture à glissière au niveau de la capuche et du col pour éviter les déperditions. Un vrai nuage.

duvet montagne

Les +

Tissus ultra-légers pour un poids minimal et une taille compacte Température de confort : -2°C Matériau de remplissage primaire : duvet d’oie Dimensions : deux tailles disponibles pour vous aller comme un gant

Un matelas Nemo

Comme au 1000 bornes, en matière de matelas il n’y a rien de pire que la crevaison… C’est pour ça que nous vous recommandons ce matelas en mousse. Nous aimons qu’il soit pliable : après 30 kil de rando, qui a envie de souffler dans un matelas pour le gonfler ?! En plus de tous ces avantages, le Switchback de chez Nemo sera votre premier isolant thermique, grâce à son revêtement métallisé et sa mousse à cellules pleines.

matelas bivouac

Les +

La taille : existe en short et regular Isolant thermique grâce à son film métallisé Doux au toucher (cool pour vos nuits sans duvet)


Le kit de survie Care Plus

On se dit toujours “ça n’arrive qu’aux autres”. Mais partir jouer les aventuriers n’est pas sans risques : vous pourriez très bien vous arracher les poils du nombril avec le zip de votre duvet. En cas de blessures un peu plus sérieuses, cette trousse de secours contient les indispensables, du désinfectant au pansement en passant par les compresses, les bandes gazes, les gants stérilisés, le ruban adhésif. N’hésitez pas y ajouter un anti-inflammatoire ainsi qu’un anti-diarrhéique (vous penserez à nous) et du paracétamol.


Les +

Contient les indispensables pour traiter plaies et saignements Le poids : 700 g (ne pas l’avoir pourrait être plus lourd… de conséquences) 1 couverture + 1 tire-tique COMMANDER


Une popote Primus

Qu’on se le dise : ce n’est pas votre survie qui est en jeu avec cet équipement de cuisine. Ce petit objet qui réchauffe les coeurs, dans lequel on aime fourrer son nez et duquel sort cette fumée qui rend visible le froid et les rayons du soleil, c’est l’image d’Épinal du bivouac, alors pas de raison de s’en priver !

popote bivouac

Les +

Les points de boyscout : +10 Tout en 1 : un réchaud à gaz, un pare-vent, 2 casseroles de 2,3L, 1 poêle (qui sert aussi de couvercle), une poignée amovible Housse de transport COMMANDER

Un Opinel Tradition n°8

Couper du saucisson sur sa cuisse (ou pas), tailler un bout de bois en pointe, cueillir des champignons, remuer son café (dans son mug en émail)… Toutes ces tâches ne peuvent être parfaitement exécutées qu’avec un Opinel. Pourquoi ? Parce que Papa faisait comme ça et papy déjà avant lui : il s’agit de perpétuer la tradition ! Avec cet objet robuste qui ne vous lâchera jamais grâce à sa lame inoxydable, son tranchant et sa courbe Yakatan inspirée des sabres turcs, vous êtes encore dans votre cuisine et vous avez déjà l’air d’un baroudeur.

opinel dans la foret

Les +

Les points tradition : +10 Lame inoxydable 1 objet, 10 utilisations

Un réchaud Jetboil

Quel campeur n’a jamais fait tomber sa gamelle parce que son réchaud n’était pas stable, juste après avoir attendu 10 longues minutes que l’eau veuille bien frémir ?! Le réchaud Flash de Jetboil propose un système tout-en-un – brûleur et récipient combiné – qui vous évitera ces galères de popote. Autre atout de taille, le Flash fait bouillir votre eau avant même que vous ayez le temps d’enlever vos chaussures pour vous mettre à l’aise (et c’est peut-être pas plus mal).


Les +

Le temps ébullition rapide : 1’40” pour 0,5L Compact et léger (371g) Stable (beaucoup plus stable qu’une popote sur un brûleur)

Une gourde Hydro Flask

Une gourde, c’est une gourde nous direz-vous. Oui mais non, on répond. Il y a un élément qui différencie vraiment la gourde Hydro Flask des autres : une techno à double paroi qui permet de garder votre potion magique froide pendant 24 heures, et chaude pendant 12 heures. A nous la bière fraîche ! Sinon, c’est en acier et c’est durable.


Les +

Isolation : à nous la bière fraîche pendant 24 heures ! Acier incassable

Une lampe frontale Petzl

Vous ne pourrez pas toujours compter sur la pleine lune pour espérer un peu de lumière au milieu de la nuit. La lampe frontale Swift de chez Petzl vous promet que vous n’aurez plus à aller faire pi** dans le noir grâce à sa puissance augmentée à 900 lumens. Si vous bivouaquez à deux, votre voisin de tente appréciera la possibilité d’adapter la puissance de l’éclairage pendant que vous lisez Les Aventures de Tom Sawyer pour vous endormir.


Les +

Recharge USB Bouton unique qui contrôle toutes les fonctions Mode Lock pour éviter un allumage intempestif


Un pack végétarien Trek’N eat

Une bonne bouffe, c’est aussi important qu’une bonne nuit. Et pour ça, les repas de la marque Trek’N eat garantissent un équilibre énergétique et nutritif à chaque fois, même pour les végétarien.nes. Voilà tout ce qu’il faut pour 7 jours d’itinérance. Mais ils se gardent 5 ans si jamais vous préférez seulement partir une nuit ! Quand vous pensez bivouac vous pensez peut-être plus saucisson, fromage et pâte de coing – et vous avez raison – mais il faut bien reconnaître que ces petites recettes du chef sont très pratiques.


Les +

Durée de conservation : 5 ans Repas nutritif Attendre 8 – 10 minutes et le repas est prêt

2022-06-07 Castor Fougueux : 10 indispensables pour le bivouac


Photo de deux tentes dans un paysage de haute montagne.
Bivouac en tentes légères en Nouvelle Zélande.
Bivouac en hamacs, protégés de la pluie par un tarp et munis de moustiquaires.

Un bivouac est un campement sommaire, temporaire et léger qui permet à une ou plusieurs personnes de passer la nuit dans un milieu sauvage (forêt, montagne, désert…) ou de s'abriter lorsque les conditions météorologiques l'imposent. Il s'appuie généralement sur l'utilisation d'une tente légère (ne permettant pas la station debout) ou d'un hamac de voyage. Le bivouac peut également être dépourvu d'abri, on parlera alors de nuit à la belle étoile dans le langage courant.

Le bivouac est habituellement associé au trekking, à la randonnée pédestre, en VTT ou à ski, à l'alpinisme ou encore au bushcraft mais peut également se pratiquer lors d'un voyage ou dans un contexte militaire. Du fait de sa durée limitée et de sa rusticité (simple sac de couchage à même le sol, duo hamac/tarp, tente légère et de petites dimensions, trou à neige, igloo, tranchée, etc.) il diffère généralement du camping sauvage au niveau de la réglementation. Ainsi, pour ne pas pénaliser les activités et sports de pleine nature, il est habituellement autorisé dans les parcs naturels avec le plus souvent une réglementation spécifique : horaires restreints, hauteur maximale des tentes, distance minimale depuis les entrées des parcs ou des refuges. L'autorisation de bivouaquer permet en outre d'éviter les risques d'une circulation de nuit dans certaines zones naturelles, notamment en raison d'un événement météorologique imprévu, de la difficulté physique d'un randonneur/pratiquant d'escalade ou encore d'une élévation inopinée du niveau des eaux.

Dénominations

Le terme français « bivouac » est également utilisé en anglais depuis les guerres napoléoniennes. Il provient d'un mot de la langue allemande telle que parlée au Moyen Âge classique, biwacht, qui se décompose en bie- (aujourd'hui, bei-), « secondaire » et wacht, « surveillant. » Il faisait référence à la mission de surveillance externe des villes fortifiées, par opposition à la surveillance interne (fonction de police). Les soldats chargés de cette mission utilisaient des abris temporaires[1].

L'abréviation « tarp » de tout abri rapide à planter[2], désigne une bâche imperméable utilisée en remplacement ou en accompagnement d’une tente afin de créer un espace de protection contre les intempéries, le vent ou le soleil. Ses usages sont divers : bivouac, stockage du contenu des sacs à dos, coin cuisine. On peut également le tendre au-dessus d’un hamac de randonnée. Les combinaisons de montage peuvent nécessiter d’avoir des arbres à proximité, des bâtons de marche, voire des mâts télescopiques[3].

Histoire

Dessin d'un homme couché sous un drap dans la montagne.
Bivouac au XIXe siècle.

Le bivouac est utilisé par homo sapiens depuis la préhistoire. À cette époque, les hommes pratiquaient le bivouac afin de pouvoir s'installer pour la nuit après de longues marches, chasses durant la journée ou bien à la suite d'aléas naturels.[réf. souhaitée].

Types de bivouac

Bivouac sans abri

Bivouac d'alpinistes, sans tente, en haute-montagne.

Par temps chaud et sans vent, c'est-à-dire le plus souvent l'été dans les zones tempérées, il est possible de dormir sans aucune protection, dans l'herbe, sur un hamac, ou à même le sol. Toutefois, les adeptes des nuits « à la belle étoile » emportent la plupart du temps une couverture (sac de couchage, couverture de survie, draps, sac à viande) et un matelas (tapis de sol, matelas pneumatique ou autogonflant) pour le confort et l'isolation thermique. Dans certaines régions, une grande moustiquaire peut être nécessaire.

Le bivouac sans abri est également possible dans des conditions météorologiques plus délicates. L'utilisation d'un sur-sac protégeant de la pluie et de la rosée est alors souvent nécessaire[4]. L'utilisation d'un sac de couchage conçu pour les basses températures s’avère indispensable par temps froid. La qualité du matelas de sol est tout aussi importante afin d'isoler de l'humidité. Lorsque l'on bivouaque dans la neige, un sur-sac est indispensable.

Dormir sans abri permet selon la législation d'éviter d'être en situation illégale de camping sauvage[5].

Bivouac sous tente

Bivouac dans la neige en montagne.

La tente est un abri couramment utilisé dans la plupart des bivouacs, appréciée pour son faible poids et sa rapidité de montage. Différentes conceptions permettent de s'adapter à toutes les situations : tente familiale, de randonnée, de cyclotourisme et vélo tout terrain, d'altitude, pour le désert ou la jungle, trois ou quatre saisons, etc.

Le bivouac avec tente peut être assimilé à du camping sauvage, et de ce fait, être verbalisé s'il enfreint la réglementation en vigueur. Toutefois, il est généralement autorisé ou du moins toléré dans les parcs naturels afin de permettre les activités de type trekking ; par exemple dans le parc national de la Vanoise, le bivouac est autorisé mais seulement avec une tente de taille limitée ne permettant pas de s'y tenir debout.

Bivouac en escalade

Selon la longueur ou la difficulté d'une escalade, il est alors possible d'effectuer un, voire plusieurs bivouacs au cours de l'ascension. C'est une technique couramment adoptée en haute montagne[6],[7], parfois en paroi en utilisant soit les plateformes naturelles souvent exiguës soit, pour les parois absolument verticales, en installant un portaledge, plateforme artificielle fixée au rocher avec des pitons, parfois couverte, permettant ainsi aux grimpeurs de passer la nuit à l'abri des intempéries.

Abris constitués de neige

Igloo

Trou à neige

Construction d'un trou à neige.

La neige est un excellent isolant contre le vent et le froid de la nuit. Il est souvent difficile voire impossible de construire un igloo en raison de la qualité de la neige et d'un manque de temps. Un trou à neige est souvent plus facile à réaliser mais nécessite une quantité de neige suffisante. Pour cela, on utilise la sonde à neige pour évaluer l'épaisseur de neige puis on décide du meilleur endroit, d'une congère généralement, souvent dans les combes. A l'aide d'une pelle à neige, on creuse le trou en fonction du nombre de personnes. Compter un travail continu de 1 heure minimum pour 1 personne. Il est recommandé de confectionner de petites cheminées d'aération afin d'éviter la condensation à l'intérieur de l'abri. Prévoir un bloc de neige qui fera office de porte afin d'éviter la déperdition de chaleur.

Dans tous les cas, une attention particulière doit être portée au risque d’asphyxie par CO2. S'il neige pendant la nuit, la cheminée d'aération peut s'obstruer, ce qui engendre une accumulation du CO2 (sans odeur) et peut provoquer la mort si aucun apport d'air frais n'est assuré. S'il y a du vent, on peut éviter que la cheminée d'aération soit obstruée par la neige en y plaçant un bâton de ski par exemple, avec un morceau de tissu à son extrémité. Le vent fera continuellement bouger le bâton grâce à son action sur le bout de tissu. Le trou d'entrée ne devrait pas se fermer complètement et laisser passer un filet d'air. Dans tous les cas, la meilleure sécurité consiste à assurer un tour de veille afin de surveiller le bon fonctionnement de la cheminée d'aération. Un moyen simple, systématiquement utilisé par les troupes de montagne lorsqu'elles bivouaquent dans des abris à neige, est de laisser une bougie allumée toute la nuit. Son action est triple : elle chauffe l'intérieur de l'abri, offre de la lumière à la personne de garde et surtout sert d'alarme à dioxyde de carbone. Si la bougie s'éteint, cela signifie que l'oxygène est insuffisant, remplacé par le CO2. Il est donc urgent de pratiquer des ouvertures pour ne pas risquer l'asphyxie.

Il est possible également de créer un abri en recouvrant d'un épais manteau de neige, environ 90 à 100 cm, les sacs à dos, le matériel…, de bien tasser à l'aide de la pelle le dôme. Puis, il convient de planter à distance régulière sur tout le dôme à 20 cm de profondeur des bâtons de 30 cm de long. Il est ensuite nécessaire de laisser durcir l'ensemble plus ou moins longtemps selon la température ambiante. Les bâtons feront gagner en solidité l'ensemble et permettront de faciliter l'excavation du dôme en donnant une indication de limite à creuser et donc obtenir des parois d'environ 20 cm d'épaisseur. Le matériel est récupéré à ce moment-là, parfois plusieurs heures après avoir commencé le dôme. Il s'agit donc d'anticiper les besoins en matériel (pelle, vêtements, réchaud) nécessaire durant la construction du dôme.

Tranchée

Plus simple, une tranchée succincte recouverte d'un toit (bâche, bloc de neige, branches de sapin recouvertes de neige, dôme simple) permettra de se protéger efficacement contre le vent, qui est un facteur aggravant et souvent décisif en termes de survie, notamment lors de violentes tempêtes.

Tranchée avec alvéoles

Plus spacieuse que la tranchée, très efficace et moins chronophage que l'igloo, la tranchée avec alvéoles (une, voire deux alvéoles et même davantage) permet de s'isoler totalement de l'extérieur. Elle exige une bonne épaisseur de neige pour la réaliser. La tranchée, de la largeur des épaules, est recouverte d'une bâche (poncho, cape, couverture de survie) ou de skis posés à plat, semelles vers l'extérieur (pour ne pas couvrir les fixations de neige qui gèlera la nuit, rendant les skis inutilisables le lendemain) recouvertes de neige. Deux séries d'alvéoles souterraines sont creusées, de part et d'autre de la tranchée, séparées par des piliers. Le réseau d'alvéoles ainsi réalisé peut abriter jusqu'à vingt personnes. L'entrée des alvéoles est fermée à l'aide des sacs à dos. A l'intérieur, l'isolation phonique est totale et la température ambiante est de zéro degré. Elle peut remonter grâce à la chaleur corporelle et quelques bougies qui permettent aussi de vérifier la bonne ventilation de l'abri. S'il neige dans la nuit, ce type d'abri est totalement indécelable, contrairement à l'igloo. Par précaution, il convient donc de baliser le périmètre des tranchées (fanions, bâtons de ski ou rubalise) pour signaler leur présence à tout visiteur et pour faciliter la circulation notamment de nuit (risque de perforation et d'effondrement).

Bivouac en spéléologie

En spéléologie, l'exploration de certaines cavités nécessite un bivouac. Un campement est installé pour éviter des aller-retours qui peuvent être épuisants entre la zone d'exploration et la surface. On peut utiliser des hamacs ou des matelas. Les sacs de couchages, la cantine, etc. sont descendus pour toute la durée de l'exploration qui peut nécessiter plusieurs expéditions. La localisation du bivouac doit être étudiée avec attention : il faut que l'endroit soit relativement sec, horizontal, à l'abri des courants d'air (pour le confort), éloigné des crues, mais néanmoins disposer d'eau (alimentaire) à proximité. Il ne doit pas être trop éloigné de la zone d'exploration. Parfois, une ligne téléphonique (avec possibilité de transfert de données) est tirée entre le bivouac et la surface pour tenir les explorateurs au courant des conditions météorologiques, ainsi que pour transmettre des données topographiques ou scientifiques (Lechuguilla, Siebenhengste). Certains bivouacs ont été installés post-siphon (par exemple, pour l'exploration de la Baerenschacht près de Beatenberg).

Bivouac en canoë

Un canoë peut également servir d'abri (toit). L'essentiel sera de se protéger de l'humidité, du froid, de l'écoulement des eaux de pluie qui proviennent du sol, par des toiles en plastiques, bâches, couverture de survie ou des végétaux comme les fougères, les herbes, les écorces, etc.

Législation

Notes et références

  1. bivouac, The American Heritage Dictionary of the English Language, Fourth Edition. Houghton Mifflin Company, 2004. 10 Jan. 2008. <Dictionary.com http://dictionary.reference.com/browse/bivouac>.
  2. Cette locution a été créée pour correspondre au mot anglais tarpaulin (bâche étanche, utilisée par les marins) composé de tar (goudron) et pall (tissu).
  3. Oriane, « Trois bonnes raisons de bivouaquer avec un tarp », Blog Cani Compostelle,‎ (lire en ligne)
  4. « Passer une nuit à la belle étoile », Quechua (marque),‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « Ces touristes qui dorment à la belle étoile », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. Mountain, documentaire réalisé par Jennifer Peedom, 2017
  7. (en) Mark Twight et James Martin, Extreme Alpinism : Climbing Light, Fast, & High [« alpinisme extrême : monter léger, vite et haut »], The Mountaineers Books, , 238 p. (ISBN 0898866545 et 9780898866544, lire en ligne), p. 185

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes


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