Catherine Ringer

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Catherine Ringer
Catherine Ringer en 2007.
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Ginger Romàn
Simone Ringer (d)
Raoul Chichin (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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signature de Catherine Ringer
Signature de Catherine Ringer.

Catherine Ringer, née le à Suresnes, est une auteure-compositrice-interprète française. Entre 1979 et 2007, elle forme, avec Fred Chichin (1954-2007), le groupe Les Rita Mitsouko.

Biographie

Les années de jeunesse

Catherine Ringer est la fille de Jeanine Ettlinger, architecte, et de Sam Ringer, peintre d'origine juive ashkénaze polonaise[1],[2] et déporté dans neuf camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale (dont elle raconte l'histoire dans C'était un homme, sur l'album Cool Frénésie des Rita Mitsouko en 2000).

La jeune Catherine écoute Oum Kalthoum, Maria Callas, joue de la flûte et chante des chansons de Georges Brassens[3] mais découvre aussi The Velvet Underground, les Rolling Stones. Elle écrit des poèmes. À huit ans, elle devient mannequin enfant pour des catalogues (Le Printemps) et fait la couverture de journaux de mode, pour ramener un peu plus d'argent au foyer.

À onze ans, elle joue dans Les Deux Coquines, réalisé par Marianne Oswald[1],[4].

Elle quitte le foyer familial à treize ans. Pendant un temps, elle assiste en auditrice libre à des cours à l'université et s'intéresse au théâtre, à la danse et au chant. À quinze ans, elle quitte l'école et s'oriente vers une carrière artistique[1],[5].

Carrière au théâtre musical

À partir de 1975, Catherine Ringer chante dans plusieurs pièces de théâtre musical : Visite à Locus Solus, un texte de Raymond Roussel mis en scène par Michel Puig ; Fragments pour Guevara (ou Fragments pour le Che) de Pierre Bourgeade, mis en scène par Michael Lonsdale ; Nuits sans nuit, une adaptation du livre de Michel Leiris mise en scène par Michael Lonsdale sur une musique de Michel Puig ; Les Loups de Catherine Dasté, mis en scène par Michel Puig.

En 1976, elle rencontre la danseuse et chorégraphe argentine Marcia Moretto, qui devient son professeur de danse et avec qui Catherine danse au Café de la Gare dans le spectacle Silences nocturnes aux îles des fées d'Armando Llamas et en 1977 au théâtre Le Palace à l’occasion du festival Trans-Théâtres. Elle chante également dans N'Shima sous la direction de Iannis Xenakis au Théâtre de la Ville (Paris), joue dans Comme dans une bourrasque de Ricardo Mosner et dans Mère Courage et ses enfants de Bertolt Brecht mis en scène par Jacques Échantillon (1978) et dans un ballet africain.

Carrière au cinéma et à la télévision

À la même période, elle prête sa voix à quelques dessins animés diffusés sur FR3 et à un film d'animation de Jean Hurtado : Les Boulugres. Ce film sera achevé en 1984, mais ne sortira que douze ans plus tard. À la télévision toujours, elle participe au documentaire Le Temps des yéyés, diffusé sur la première chaîne le 16 janvier 1980.

Entre 1975 et 1983, Catherine Ringer tourne dans une vingtaine de films pornographiques[6]. Pour les essais de son premier film, Corps brûlants, elle est encore mineure : « J'avais 17 ans, je m'étais fait passer pour plus vieille[7] », mais elle a 18 ans quand le film sort en juin 1976. Elle déclare plus tard l'avoir fait sans besoin d'argent, juste parce qu'elle était « bizarre »[7]. On la voit dans des productions françaises, mais aussi allemandes et italiennes[8] ; elle pose par ailleurs pour la revue danoise Sex Bizarre de la Color Climax et pour la revue suédoise Pirate. Elle est créditée aux génériques de ces films — souvent assez poussés pour l'époque dans le registre pornographique[8] — sous son vrai nom, ou sous les pseudonymes de Lolita da Nova, Betty Davis ou Yvette Lemercier. C'est au printemps 1986 que le grand public découvre son passé dans le X, jusque-là connu des seuls amateurs de porno : en effet, alors qu'elle est devenue une vedette avec Les Rita Mitsouko, ses anciens films hard sont réédités dans des VHS qui la créditent sous le nom de « Mitsouko », voire de « Rita Mitsouko » (les éditeurs vidéo confondant la chanteuse et le duo). Devant cette utilisation du nom de son groupe, Catherine Ringer porte plainte : elle est cependant déboutée par la justice, ce qui permet aux éditeurs d'écouler leurs cassettes grâce à une nouvelle campagne publicitaire autour du « scandale Rita Mitsouko ». L'affaire fait quelque bruit dans les médias français, mais le public n'en tient pas rigueur à la chanteuse, dont la carrière musicale ne souffre pas[9].

Catherine Ringer est revenue plusieurs fois sur ces expériences, sans les renier[8]. Peu après l'« affaire » des VHS, elle est insultée sur le plateau de l'émission Mon Zénith à moi par Serge Gainsbourg, qui la qualifie de « pute » pour avoir tourné dans des films X[10],[7]. Elle lui répond qu'elle a vécu « l'aventure moderne », il réplique que « l'aventure moderne n'est pas dégueulasse », elle lui rétorque qu'il est devenu « le dégueulasse-type ». La séquence est commentée par Pierre Desproges, qui, prenant la défense de Catherine Ringer, dit de Gainsbourg : « je l'aimais beaucoup, de son vivant[11]. »

En 1986, dans l'émission Sexy Folies présentée par Mireille Dumas, elle raconte que son expérience dans le porno était faite de « situations violentes, difficiles, où son image personnelle [était] complètement écrabouillée, réduite à néant » et compare le porno à une forme de « service militaire »[12]. Dans l'émission C à vous du , alors qu'on lui demande sa position sur le mouvement BalanceTonPorc, elle déclare[13] :

« J'ai été victime de 13 ans et demi à 20 ans d'un pervers narcissique qui m'a entraînée dans les zones pornographiques, dans le viol. J'étais une petite jeune abandonnée par des parents qui ne connaissaient rien à ça. Il faut dire qu'on vivait une époque dans les années 1970 — je ne suis pas la seule à avoir vécu ça — où on disait : "on va se libérer", "vive l'amour libre". Donc, vas-y, t'as 15 ans, lis donc Emmanuelle. On va faire comme dans Emmanuelle, tu vas devenir l'esclave d'un mec qu'a 45 ans, je te donne à lui, etc. Moi, je me suis laissé faire aussi, et j'en ai beaucoup souffert. J'ai beaucoup pleuré. J'ai eu beaucoup de séquelles. Bon, maintenant, on fait aussi avec tout ça. Lui aussi avait été plus ou moins violé quand il était petit dans des écoles catholiques. C'est aussi grâce à lui que j'ai commencé à être une chanteuse professionnelle. Voilà, je n'irai pas le dénoncer par contre. En plus, il y a prescription. »

Carrière pop

Les Rita Mitsouko (1979-2007)

En 1979, Catherine Ringer chante dans la comédie musicale Flashes rouges de Marc'O et Geneviève Hervé. Faute de salaires, deux des musiciens quittent le spectacle. Fred Chichin est engagé et, au bout d'une semaine de répétition, dit à Catherine : « Quittons cette galère et faisons un groupe de Rock ! ».[réf. nécessaire] Ils forment d’abord Les Sprats, composent et jouent entre autres sur scène la musique d'Aux limites de la mer d’Armando Llamas mis en scène par Catherine Dasté avec Marcia Moretto (1980) et de Pôle à pôle chorégraphié par Marie-Christine Gheorghiu et Alain Buffard (1982).

Après quelques tentatives de travail en groupe, c'est finalement en duo que Catherine et Fred choisissent de fonctionner. Le couple travaille chez lui et c'est dans leur cuisine que naissent leurs premiers titres. De concert en concert, dans des bars ou des boîtes rock, ils se forgent une petite notoriété dans Paris. C'est au Gibus, en novembre 1980, que le duo se présente sous le nom de Rita Mitsouko.

Les Rita Mitsouko aux Eurockéennes de Belfort en 2007.

En 1985, le duo se rebaptise « Les Rita Mitsouko » pour en finir avec la méprise répandue dans la presse et leur public — on croyait souvent que le nom du groupe était celui de la chanteuse, et vice versa. La même année, le 45 tours Marcia Baïla, hommage à Marcia Moretto, les révèle au grand public.

Leur carrière dure près de trente ans (1979-2007), comptant sept albums studio originaux : Rita Mitsouko, The No Comprendo, Marc et Robert, Système D, Cool Frénésie, La Femme trombone, Variéty), un album de remixes (RE) et deux albums live (Acoustiques, Les Rita Mitsouko en concert avec l'orchestre Lamoureux). Ils sont nommés tous les deux chevalier des Arts et Lettres.

Tout au long de ces années, ils collaborent avec de nombreux artistes comme les Sparks, Iggy Pop, Richard Galliano ou Jean Néplin, multiplient les tournées internationales et se distinguent par leurs clips, réalisés, entre autres, par Philippe Gautier ou Jean-Baptiste Mondino. Plusieurs de leurs morceaux deviennent des tubes (Andy, C’est comme ça, Les Histoires d'A., Le Petit Train, Y'a d'la haine, etc.) et Les Rita Mitsouko s’imposent comme des artistes incontournables dans le paysage du rock et de la chanson française.

Catherine Ringer en parallèle des Rita Mitsouko

Parallèlement, Catherine Ringer chante aussi en duo avec Marc Lavoine (Qu’est-ce que t’es belle) ou pour des bandes originales de films (Tatie Danielle, Les trois frères, Sinon oui [composée avec Archie Shepp], Un grand cri d’amour, Reines d’un jour, etc.). En 2002, elle revient également au théâtre musical en interprétant le rôle principal dans Concha Bonita d'Alfredo Arias (musique de Nicolas Piovani) au théâtre de Chaillot. En 2004, le spectacle tourne en Italie en version italienne.

L'après Rita Mitsouko (2007-2008)

Après la mort de Fred Chichin, en , Catherine Ringer, sans remplacer Fred, reprend la tournée interrompue, renommée Catherine Ringer chante Les Rita Mitsouko and more, qui se terminera par deux concerts les 21 et à La Cigale et une ultime représentation le sur la scène du Métropolis de Montréal[14].

Le paraît l'album live CD/DVD de La Cigale.

Le premier album solo Ring n' Roll et le « Ring n' Roll Tour » (2009-2012)

En 2009, Catherine Ringer commence l'enregistrement de son premier album solo et offre à son public une chanson diffusée sur internet, Je kiffe Raymond, en référence au sélectionneur de l’équipe de France de football, Raymond Domenech. Elle continue à collaborer avec d’autres artistes, comme Mauro Gioia avec qui elle chante des chansons de Nino Rota et de Renato Carosone. Nouvelles bandes originales de films : Liberté de Tony Gatlif, Les Aventures extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec de Luc Besson.

Ring n' Roll sort en [15]. Il contient douze chansons, dont trois feront l’objet de clips : « Pardon », « Prends-moi » et « Punk 103 ». Pour ce nouvel opus, Catherine Ringer retrouve Mark Plati, le producteur de David Bowie et de Variéty, et collabore avec l’accordéoniste japonais Coba ainsi que RZA du Wu-Tang Clan. Cette même année, elle est élevée au rang d’officier des Arts et des Lettres[16]. Elle entame une tournée internationale, Ring n' Roll Tour, qui passe par La Cigale et l’Olympia à Paris, dans de nombreuses villes françaises mais aussi à Bruxelles, Londres, au Québec, aux États-Unis et sillonne les routes jusqu’en août 2012. Salué par la critique[réf. nécessaire], Ring n' Roll est nommé aux Victoires de la Musique 2012 dans la catégorie « Meilleur album de chansons » et Catherine Ringer remporte la Victoire de la « Meilleure artiste féminine »[17] ainsi que le Prix spécial de la SACEM[18].

Le trio Plaza Francia (2013-2015)

Courant 2013, par l'intermédiaire d'Alfredo Arias, Eduardo Makaroff et Christoph H. Müller, tous deux musiciens membres fondateurs du groupe Gotan Project, rencontrent Catherine Ringer et lui proposent d'enregistrer une chanson pour leur nouveau projet intitulé Plaza Francia (du nom de la « Place France », située à Recoleta, un quartier résidentiel de Buenos Aires). Finalement, Catherine enregistrera toutes les chansons de l'album (des chansons de tango composées par Makaroff et Müller) et intégrera la formation à part entière.

Le temps de faire vivre leur projet commun Plaza Francia, Catherine et les deux musiciens mettent provisoirement de côté leurs projets respectifs : pour Catherine, de nouvelles chansons sur lesquelles elle a déjà commencé à travailler, et pour Makaroff et Müller, le groupe Gotan Project.

Le trio donne ses deux premiers concerts en France le à Sannois (Île-de-France) et le à Clermont-Ferrand (Auvergne).

Le , Plaza Francia publie un album sous le titre A New Tango Song Book et se lance, dès le lendemain, dans une tournée de vingt dates en France et en Suisse, dont trois soirs consécutifs au Printemps de Bourges[19], tournée qui durera jusqu'en .

Chroniques et Fantaisies et tournées de concerts (2016-2018)

En , Catherine Ringer annonce son retour à la scène et la préparation d'un nouvel album à paraître en 2017.

À l'automne 2016, cette fois-ci sans Plaza Francia, elle se lance dans une nouvelle tournée de douze concerts, du 18 octobre au 14 novembre, au cours desquels elle interprète des chansons de son futur album (dont le titre provisoire est Senior), des titres des Rita Mitsouko ainsi que des musiques de films[20],[21].

Fin , elle annonce une première date de concert pour 2017 : le dimanche à Castelsarrasin (salle Jean-Moulin), dans le cadre du festival Grain de Sel. S'ensuit l'annonce d'une trentaine d'autres dates en France (et une seule en Suisse, à Lausanne) jusqu'en décembre 2017.

Le paraît son nouvel album intitulé Chroniques et Fantaisies[22].

Elle repart en tournée pour vingt-cinq concerts, du Nantes) au Courlans, dans le Jura), avec, cette fois, une visite de trois pays limitrophes : le Luxembourg, la Belgique et la Suisse.

Tournée des quarante ans des Rita Mitsouko (2019-2021)

Catherine Ringer au festival des Vieilles Charrues en 2021.

En 2019, Catherine Ringer prend la route avec ses musiciens pour revisiter le répertoire culte des Rita Mitsouko en se lançant (jusqu'au 6 décembre 2019, ensuite prolongé[23]) dans une tournée de célébration des quarante ans du groupe intitulée « Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko »[24]. Par cette tournée, elle perpétue l'œuvre du groupe qui l'a fait connaître[24]. Elle est l'une des personnalités à participer au dernier défilé de Jean-Paul Gaultier en janvier 2020 telles Coco Rocha, Amanda Lear, Mylène Farmer, Rossy de Palma, Dita von Teese et Estelle Lefébure[25],[26].

Le répertoire du groupe est gravé sur sillons avec la sortie le d'un double album CD / triple album vinyle en public intitulé Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko enregistré à la Philharmonie de Paris les 28 et 29 septembre 2020[27],[24].

Toujours en 2020, elle est nommée dans la catégorie « Artiste féminine de l'année » aux Victoires de la musique[28].

Le , souffrant du Covid-19, elle annule plusieurs dates de sa tournée des festivals[29].

Le , elle est victime d'un malaise sur la scène du Forum de Liège[30].

Engagements artistiques symboliques

Le , lors de la cérémonie des César, elle a interprété Je reviens te chercher sur scène, une musique choisie pour symboliser les salles de cinéma fermées durant les périodes de confinement[31].

Le , lors de la cérémonie de scellement du droit à l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, elle a entonné La Marseillaise, mais avec des paroles retravaillées pour plus d'inclusivité et souligner l'enjeu historique : « Aux armes citoyens, citoyennes » puis « Marchons et chantons cette loi pure dans la Constitution »[32].

Famille

Fred Chichin et Catherine Ringer, qui ont vécu ensemble, ont eu trois enfants : Ginger Romàn, qui est actrice, Simone Ringer, graphiste et chanteuse dans le groupe Minuit avec son frère Raoul Chichin, guitariste[33]. Ce dernier l'accompagne dans sa tournée 2019 pour les quarante ans des Rita Mitsouko[34].

Tournées

Discographie

En solo

Singles

Clips

Albums studio

Compilations & Live

Avec Les Rita Mitsouko

Albums

Coffret

  • 2019 : L'intégrale : Coffret de 12 CD + 1 DVD.
  • 2019 : L'intégrale : Coffret de 13 Disques Vinyles + DVD + une feutrine pour platine vinyle + un poster exclusif.

Mini-albums

Autres

  • 1985 : Les Enfants du Velvet, titre All Tomorrow's Parties (Disque compilation en hommage à Lou Reed)
  • 1999 : Emmaüs Mouvement, titre Le juste prix (Disque anniversaire des 50 ans du mouvement Emmaüs)

Singles

  • 1982 : Minuit dansant / Don't forget the nite
  • 1984 : Restez avec moi / Marcia Baïla
  • 1986 : Andy / Un soir, un chien / C'est comme ça / Les Histoires d'A.
  • 1988 : Mandolino City / Singing in the shower (avec Sparks) / Tongue dance / Le petit train
  • 1990 : Hip kit / Don't forget the nite
  • 1993 : Y'a d'la haine / Les Amants / Femme d'affaires
  • 1996 : Riche (en duo avec Doc Gynéco / If I were a rich man (adaptation)
  • 2000 : Cool frénésie / Alors c'est quoi / Femme de Moyen Âge
  • 2002 : Triton / Sasha / Tu me manques
  • 2004 : Triton (live) / La sorcière et l’inquisiteur (live) / Andy (live) / Où sont-ils donc ? (live) / Écoutez la chanson bien douce (live)
  • 2007 : Communiqueur d'amour / Ding Dang Dong / Même si / L'ami ennemi

Clips

Avec Plaza Francia

Albums

Participations

Théâtre musical

Filmographie

Cette section concerne sa filmographie en tant qu'actrice. Voir aussi les sections « Singles » et « Participations » pour sa participation à certaines bandes originales de films.

Cinéma et télévision

Films classés X

Distinctions

Décoration

Récompenses

Notes et références

  1. a b et c « Biographie de Catherine Ringer », sur le site ritamitsouko.org (consulté le ).
  2. Chanter pour la paix, Paris, Mango jeunesse, , 41 p. (ISBN 2-7404-1630-X).
  3. Florian Bardou, « Catherine Ringer, c’est comme ça », sur Libération (consulté le )
  4. « Les Deux Coquines », sur YouTube (consulté le ).
  5. Entrée Libre, France 5, « Portrait et interview de Catherine Ringer », sur youtube.com, (consulté le ).
  6. « Voluptés particulières », sur le site telerama.fr (lien archivé) (consulté le ).
  7. a b et c Éric Loret, « Ceci est bien une pipe », sur Libération, (consulté le ).
  8. a b et c cinémax, p. 425.
  9. cinémax, p. 89-90.
  10. « VIDEO : Gainsbourg et Catherine Ringer » (consulté le ).
  11. Signifiant par là que l'artiste, bien qu'encore en vie, n'était plus que l'ombre de lui-même. Entretien publié en vidéo sous le titre Desproges est vivant.
  12. « Catherine Ringer à propos de sa sexualité », sur le site de l'INA.FR, (consulté le ).
  13. Katia Rimbert, « Catherine Ringer révèle avoir été victime d’un pervers narcissique dans C à vous », sur programme-tv.net, .
  14. Marie-Christine Blais, « Les Rita Mitsouko sans Fred Chichin : la grande Catherine », sur le site lapresse.ca, (consulté le ).
  15. « Catherine Ringer annonce la sortie d'un nouvel album », sur le site ozap.com, (consulté le ).
  16. a et b « Nomination ou promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres juillet 2011 - Ministère de la Culture », sur www.culture.gouv.fr (consulté le ).
  17. a et b « Victoires de la musique : triomphe de Catherine Ringer et Hubert-Félix Thiéfaine », sur RFI, (consulté le ).
  18. a b et c « Grands prix Sacem 2012 », sur www.franceinter.fr, (consulté le ).
  19. « Catherine Ringer en concert », sur le site officiel de Catherine Ringer (consulté le ).
  20. Nathalie Paul, « Catherine Ringer s’invite en concert avant son nouvel album prévu en 2017 », sur le site concertlive.fr, (consulté le ).
  21. « CATHERINE RINGER : LE LIVE REPORT », sur le site emb-sannois.org (lien archivé) (consulté le ).
  22. Steven Bellery et Bernard Lehut, « “Chroniques et Fantaisies”, le nouvel opus baroque de Catherine Ringer », sur le site rtl.fr, (consulté le ).
  23. Eric Bureau, « 40 ans après leurs débuts, Catherine Ringer nous raconte les Rita Mitsouko », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  24. a b et c Jack, « Il y a 40 ans naissaient Les Rita Mitsouko, et c'était comme ça », sur jack.canalplus.com, (consulté le ).
  25. « Mylène Farmer, Amanda Lear… L'incroyable casting du dernier défilé haute couture de Jean-Paul Gaultier », sur Vogue, (consulté le ).
  26. (it) Paola Pollo, « Amanda Lear e Dita von Teese per l'ultima sfilata di Jean Paul Gaultier », sur Corriere della Sera, (consulté le ).
  27. La captation (h 42) est diffusée sur Canal+ le vendredi 6 novembre 2020 à 23 h 10.
  28. « Victoires de la Musique 2020 : la liste complète des nominations », .
  29. Corinne Calmet, « Exclu. Catherine Ringer souffrante du Covid-19, elle annule un deuxième concert », sur www.programme-tv.net, (consulté le ).
  30. « Catherine Ringer s'effondre sur la scène du Forum à Liège », sur 5minutes.rtl.lu, (consulté le ).
  31. « Catherine Ringer aux César, le Printemps des poètes, Papiers et la Conversation mondiale ! », sur France Culture, (consulté le ).
  32. « IVG dans la Constitution : Catherine Ringer revisite la « Marseillaise » », sur Ouest-France, (consulté le ).
  33. « Simone Ringer et Raoul Chichin, la musique en héritage », sur le site gala.fr, (consulté le ).
  34. « Le rendez-vous culture: Catherine Ringer célèbre les 40 ans des Rita Mitsouko sans son partenaire Fred Chichin, parti rejoindre les étoiles - Vidéo », sur Play RTS (consulté le ).
  35. « Un "Happy" avec Catherine Ringer pour la maternité des Lilas », sur Franceinfo, (consulté le )
  36. « Les Rita Mitsouko - Les Histoires d'A. (Clip Officiel) » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  37. « • L'érotisme de vivre Catherine Ringer », sur Théâtre de l'Atelier (consulté le )
  38. Véronique Lesueur, Patrick Dewaere, FeniXX, 270 p. (ISBN 9782258188730, lire en ligne).
  39. Christophe Carrière, Patrick Dewaere, l'écorché, Michel Lafon, , 175 p. (ISBN 9782749933597, lire en ligne).
  40. « L'Art et les restes : making-of d'"Au long de rivière Fango" » (consulté le )
  41. Charlotte Salomon, la jeune fille et la vie - Regarder le documentaire complet | ARTE, consulté le
  42. Arrêté du 13 septembre 2016 portant nomination dans l'ordre des Arts et des Lettres.
  43. a et b Le Point magazine, « Camille, Catherine Ringer et Sexion d'Assaut récompensés par la Sacem », sur Le Point, (consulté le ).
  44. « Les Étoiles du Parisien : notre palmarès 2016 », sur Le Parisien, (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes


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