Florence Arthaud

De Mi caja de notas

2022-11-17 Sophie Bober et Fabrice Drouelle : Florence Arthaud


Florence Arthaud

Florence Arthaud en 2009.
Datos personales
Nacimiento Boulogne-Billancourt, Francia
28 de octubre de 1957
Nacionalidad(es) Bandera de Francia Francia
Fallecimiento Villa Castelli, Argentina
9 de marzo de 2015 (57 años)
Pareja Loïc Lingois
Philippe Monnet
Carrera deportiva
Deporte Navegación

Florence Arthaud (Boulogne-Billancourt, 28 de octubre de 1957-Argentina, 9 de marzo de 2015)[1]​ fue una navegante francesa.

Hija de Jacques Arthaud —director de la casa editorial Arthaud durante los años 1970, donde publicó entre otros los libros de Bernard Moitessier y Éric Tabarly, también grandes navegantes—, Florence Arthaud comenzó desde muy joven a navegar con su padre y su hermano Jean-Marie, y aprendió a navegar en el club de navegación de Antibes. En 1974, a los 17 años, sufre un grave accidente de coche, atravesando un periodo de coma y parálisis. Pasa seis meses en el hospital, y dos años más de convalecencia, con la ayuda del padre Michel Jaouen.

En aquel entonces, realiza su primera travesía del Atlántico a los 18, con Jean-Claude Parisis.

Florence Arthaud participa en la carrera Route du Rhum desde su primera edición, en 1978, y logra el 11º lugar. En 1986, interrumpe la carrera para lanzarse a la ayuda del navegante Loïc Caradec. Encuentra el catamarán Royale, pero ningún rastro del marinero. En agosto de 1990, con el barco Pierre Ier de Serbie, compite por el récord de la travesía del Atlántico Norte con vela en solitario. En 9 días 21 horas y 42 minutos, mejora la performancia de casi dos días. En noviembre de ese mismo año, gana la Route du Rhum, en 14 días 10 horas y 10 minutos.

En 1997, Florence Arthaud gana la carrera Transpacifica con Bruno Peyron, y compite en la carrera solitaria del Figaro.

En 1993, tiene una hija Marie, cuyo padre es Loïc Lingois, navegante profesional. En 2005 se casa con Éric Charpentier, pero su matrimonio no funciona. También fue compañera del navegante Philippe Monnet. En su autobiografía, publicada en 2009, Florence no esconde nada de sus problemas con el alcohol.

El 29 de octubre de 2011, cae de su barco en plena noche cerca de la isla de Córcega. Teniendo por suerte una pequeña lámpara y su teléfono móvil a prueba de agua, logra llamar a su madre que informa su hermano. Es rescatada tres horas y veinte minutos después de su llamada gracias a la geolocalización de su teléfono y llevada al hospital de Bastia, en Córcega.

Un accidente aéreo acabó con su vida y la de nueve personas más al colisionar dos helicópteros en la provincia de La Rioja en Argentina, el 9 de marzo de 2015.[2]

Referencias

  1. «Medallistas olímpicos franceses fallecieron en choque de helicópteros en Argentina». La Tercera. 9 de marzo de 2015. Archivado desde el original el 5 de marzo de 2016. Consultado el 10 de marzo de 2015. 
  2. «La reacción de la prensa francesa tras el accidente en Argentina». Infobae. 9 de marzo de 2015. 

Florence Arthaud
Florence Arthaud dédicaçant son livre Un vent de liberté à Paimpol en .
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière de l'île Sainte-Marguerite (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Florence Monique Yvonne Arthaud
Surnom
La petite fiancée de l'Atlantique[1]
Nationalité
Activités
Père
Jacques Arthaud (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Jacques Charpentier (d) (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Marie Lingois (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Taille
1,63 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Sport
Distinction

Florence Arthaud, née le à Boulogne-Billancourt et morte le à Villa Castelli, en Argentine, est une navigatrice française.

Elle est la première Française à remporter la Route du Rhum en 1990[2].

Elle meurt dans un accident d'hélicoptère, dans la province de La Rioja, alors qu'elle participe au tournage de l'émission de télé-réalité Dropped, de TF1, en compagnie d'autres sportifs français.

Biographie

Jeunesse

Florence Monique Yvonne Arthaud naît dans la famille des éditeurs grenoblois Arthaud. Elle est la cadette des trois enfants de l'éditeur Jacques Arthaud (1932-2014), renommé durant les années 1960 et 1970 grâce à la publication d'ouvrages d'art et de récits de grands explorateurs et navigateurs tels Bernard Moitessier (1925-1994) et Éric Tabarly (1931-1998)[3],[4].

Elle apprend très jeune à naviguer au club de voile d’Antibes, avec son frère aîné, Jean-Marie, né en 1955, et le benjamin, Hubert, né en 1961. En 1974, à dix-sept ans, elle réussit le baccalauréat et se prépare à devenir médecin. Malheureusement, elle est victime d'un grave accident de voiture qui la plonge quelque temps dans le coma et lui vaut un pronostic de séquelles à vie, dont une paralysie partielle. Elle reste six mois à l’hôpital de Garches, et contre toute attente, après deux ans, elle se rétablit complètement[5],[6], avec l'aide du père jésuite Michel Jaouen[7].

Pendant sa convalescence, elle effectue sa première traversée de l'Atlantique à dix-huit ans avec le navigateur et écrivain Jean-Claude Parisis[8],[9], rencontré en 1976 aux États-Unis et qui fut le grand amour de sa vie.

Carrière sportive

Florence Arthaud prend part à la première édition de la Route du Rhum à bord du voilier "XPérimental", un Frioul 38. Partie le 5 novembre 1978 de Saint-Malo, elle rallie Pointe-à-Pitre après 27 jours, se classant 11e.

En 1986, elle se déroute pour porter assistance à Loïc Caradec. Elle retrouve le catamaran Royale retourné mais sans trace du marin[3],[10].

Le promoteur immobilier Christian Garrel finance la construction de son trimaran Pierre 1er[11],[8]. En août 1990, elle s'attaque au record de la traversée de l'Atlantique Nord à la voile en solitaire d'ouest en est de New York au cap Lizard en Angleterre, détenu par Bruno Peyron. En 9 jours, 21 heures et 42 minutes, elle améliore la performance de près de deux jours[5].

En novembre de la même année 1990, elle remporte la Route du Rhum, rejoignant Pointe-à-Pitre après 14 jours, 10 heures et 10 minutes[3],[12].

Elle ne parvient toutefois pas à faire construire un nouveau maxi-trimaran pour se lancer dans le défi du Trophée Jules Verne, en raison de la crise immobilière dont souffre son sponsor[8],[9].

En 1997, Arthaud remporte la Transpacifique comme équipière de Bruno Peyron[8] et dispute la solitaire du Figaro[13].

En 2001, une tragédie la frappe très durement : sur le bateau familial, son frère aîné se suicide d'un coup de revolver dans une calanque que fréquentait la famille.

En 2002, elle se met en tête de battre le record du tour du monde en solitaire et tente de rassembler des fonds pour racheter le trimaran Sport-Elec, sur lequel a couru Olivier de Kersauson[14].

Elle participe en 2004 à la transat en double Lorient-Saint-Barth avec Lionel Péan.

Elle court avec Luc Poupon, le frère de Philippe Poupon, ils participent, en 2006, à l'Odyssée Cannes - Istanbul sur monotype Bénéteau Figaro II. L'année suivante, ils disputent la Transat Jacques-Vabre sur un Class40[8].

En 2010, pour le vingtième anniversaire de sa victoire, elle ne réussit pas à trouver de sponsor : « J'étais un peu dégoûtée. Ils avaient rouvert la course aux grands voiliers. C'était le 20e anniversaire de ma victoire et j'avais l'intention d'y participer sur un immense trimaran, Oman (30 m). Mais je n'ai pas réussi à avoir ce bateau, ils ont préféré le donner à un homme (Sidney Gavignet, qui a abandonné sur avarie). Ça m'a définitivement dégoûtée et je me suis dit "bon, j'arrête !"[15]. »

Le , elle tombe de son bateau en pleine nuit au large du cap Corse. Disposant d'une lampe frontale et d'un téléphone portable étanche, Florence Arthaud parvient à appeler sa mère qui prévient son frère. Le CROSSMED est alors alerté, et trois heures vingt minutes après son appel de détresse, elle est récupérée par le biais de la géolocalisation de son téléphone portable. Consciente mais en état d'hypothermie, elle est hélitreuillée vers l'hôpital de Bastia et en sort le lendemain[9],[3].

Vie privée

Florence Arthaud épouse en premières noces Loïc Lingois, un navigateur professionnel né en 1966, avec lequel elle s'installe à Marseille. En 1993, elle met au monde leur fille, Marie[16].

Elle a ensuite pour compagnon le navigateur Philippe Monnet[17] ainsi qu'une aventure avec Olivier de Kersauson[18].

En 2005, elle se remarie à Porquerolles avec Éric Charpentier, marin lui aussi et ami de longue date, mais l'union ne dure pas non plus[16].

De 2009 à 2015, elle a une relation avec la réalisatrice et productrice Kaya Lokay[18].

Dans son autobiographie, publiée en 2009, Arthaud ne cache rien des jours difficiles, de l'alcool qui lui coûte son permis de conduire en 2010, de la défection des sponsors qui anéantit tous ses projets[19]. Elle trouve du réconfort auprès de l'association La roue tourne, qui vient en aide aux célébrités dans le besoin ou qui ont des difficultés.

Mort

Florence Arthaud meurt le lundi dans un accident d'hélicoptère survenu en Argentine durant le tournage de l'émission de télévision Dropped[9]. La nageuse Camille Muffat et le boxeur Alexis Vastine meurent également dans cet accident.

Selon ses dernières volontés, Florence Arthaud est crématisée, et ses cendres déposées sur l'île Sainte-Marguerite, en face de Cannes[20], une cérémonie en mer a eu lieu également[21].

Autres activités

En 1989, elle participe à l'album Quelque part... c'est toujours ailleurs de Pierre Bachelet. Cette chanson débute par : « Ce soir-là je me promenais Avenue de l’Océan… » Pierre Bachelet fait là référence au fait que les parents de Florence possédaient une belle villa au 8 Avenue de l’Océan 44380 Pornichet qui en 1989 a été vendue à un entrepreneur du transport. Elle y interprète trois chansons en duo avec le chanteur : Flo (qu'ils chantent ensemble sur la scène de l'émission de Michel Drucker Stars 90), Typhon (qui est une nouvelle version d'un titre chanté par Bachelet en 1982[22]) et Quelque part… c'est toujours ailleurs). Les paroles décrivent la relation de Florence Arthaud avec la mer[3].

Son autobiographie, Un vent de liberté, préfacée par Olivier de Kersauson[23], paraît en 2009[24]. Avant sa mort, Florence Arthaud travaille sur un projet de course réservée aux femmes, dont la première édition doit se dérouler en Méditerranée durant l'été 2015[9].

L'année qui précède sa disparition, elle travaille avec l'écrivain et dramaturge Jean-Louis Bachelet à l'écriture de nouveaux mémoires. Le livre Cette nuit, la mer est noire, paraît le 19 mars 2015, soit dix jours après sa mort, aux éditions Arthaud[25].

Courses

Publications

  • Fiancée de l'Atlantique, Éditions du Pen-Duick, 1982
  • Un vent de liberté, Flammarion/Arthaud, 2009
  • Rencontres avec la mer. Paris : Vents de sable, 2015, 192 p. (ISBN 978-2-913252-15-8)
  • Petit Hérisson rêve de la mer / illustrations Gwendal Blondelle, photographies Caroline et Rémy Gauvin. Forcalquier : Editions Le Sablier, coll. "Les p'tits champions de l'environnement", 2015, 44 p. (ISBN 978-2-84390-333-5)
  • Cette nuit, la mer est noire, en collaboration avec Jean-Louis Bachelet, Arthaud, mars 2015
  • Océane, Flammarion/Arthaud, 2021 (écrit par Florence Arthaud en 1989)
  • Florence Arthaud secrète récit de Kaya Lokay. Edition de l'Archipel, novembre 2023

Reconnaissance et hommages

Pierre Bachelet a écrit une chanson en 1989 se nommant Flo pour ses exploits.

Élue championne des champions français par le journal L'Équipe, en 1990[3], elle est la seule sportive avec Marielle Goitschel à obtenir, à deux reprises (en 1978 et 1990), le prix Monique-Berlioux de l'Académie des sports[40], récompensant la meilleure performance féminine sportive de l'année écoulée.

Lors des Fêtes maritimes de Brest en 2016, la ville de Brest donne le nom de Florence Arthaud à la digue du port de plaisance du Moulin-Blanc[41]. En 2022, l'université de Bretagne-Occidentale donne son nom à un de ses amphithéâtres[42]. Un quai de Paris porte son nom : la promenade Florence-Arthaud, dans le 19e arrondissement[43]. Il existe de nombreuses rues Florence-Arthaud ailleurs en France :

Des écoles portent son nom à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis) et Plomodiern (Finistère). Le lycée public maritime de Saint-Malo porte également son nom.

Le , Pascal Bresson écrit le roman graphique Florence Arthaud, femme libre.

En 2022, Géraldine Danon réalise un film biographique consacré à la navigatrice, intitulé Flo, projeté hors compétition lors du Festival de Cannes 2023 et sorti le . Stéphane Caillard y incarne le rôle-titre. L'écrivain Yann Queffélec est co-scénariste[45]. La distribution est complétée par Pierre Deladonchamps (dans le rôle du frère de la navigatrice), Maryline Canto (sa mère) et Charles Berling (Jacques, son père). Loup Lamazou, le fils de la réalisatrice et de Titouan Lamazou, incarne son propre père[46]. Le trimaran Pierre Ier, avec lequel elle a remporté la Route du Rhum 1990, est racheté par Philippe Brillault qui le ramène de Hong Kong en France, pour le mettre à disposition de Philippe Poupon et de la réalisatrice. Le voilier est alors renommé Flo et participe à la Route du Rhum 2022 pour rendre hommage à la navigatrice[47].

Littérature

Cinéma

Notes et références

  1. « PHOTOS. Florence Arthaud, "la petite fiancée de l'Atlantique" », sur L'Obs (consulté le )
  2. a et b Gilles Festor, « Sur les traces de Pierre 1er, l'ancien bateau de Florence Artaud », sur Le Figaro, (consulté le )
  3. a b c d e et f Hervé Guilbaud, « Florence Arthaud, éternelle «Petite Fiancée de l'Atlantique» », AFP,
  4. « Florence Arthaud », whoswho.fr.
  5. a et b « Biographie de Florence Arthaud », Le Parisien
  6. « Florence Arthaud et son parcours de navigatrice » [vidéo], sur ina.fr
  7. Le père Jaouen était surnommé « Le Phare », se souvient Georges Pernoud
  8. a b c d et e Bertrand d'Armagnac, « L'éternelle fiancée », Le Monde,
  9. a b c d et e Charlotte Chabas, « Mort de la « petite fiancée de l’Atlantique », Florence Arthaud », Le Monde,
  10. « Le catamaran de Caradec s'est retourné » [vidéo], sur ina.fr
  11. « Florence Arthaud, une vie de défis et de convictions », sur Sport24, (consulté le ).
  12. « Florence Arthaud au journal télévisé d'Antenne 2 du 19 novembre 1990 » [vidéo], sur ina.fr
  13. Luc Le Vaillant, « Florence Arthaud revient », Libération,
  14. Claire Raynaud-Gastineau, « Voile : Le grand retour de Florence Arthaud », Le Parisien,
  15. « Florence Arthaud éternelle fiancée de l'Atlantique », sur L'Équipe,
  16. a et b Louise Col, « Florence Arthaud : Loïc Lingois, son mari, l'homme qui lui a donné l'envie d'être mère », Terrafemina, (consulté le )
  17. « Mort de Florence Arthaud : Souvenirs intimes de Philippe Monnet, ancien amoureux », purepeople.fr, 12 mars 2015.
  18. a et b « Florence Arthaud : ses derniers secrets dévoilés par sa compagne », sur Le Point, (consulté le )
  19. Quand Florence Arthaud écrivait : "Je pars embarquer" - Marie Guichoux, L'Obs, 10 mars 2015
  20. « Florence Arthaud : les îles de Lérins comme dernière demeure », Le Point,‎ (lire en ligne)
  21. « Découvrez les tombes célèbres de Jean Marais, Florence Arthaud, Eddie Barclay et Soeur Emmanuelle », france3-regions.francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne)
  22. Dans l'album Les Corons en 1982, Pierre Bachelet chante cette chanson comme s'il était un marin. Dans la version de 1989, Florence Arthaud est prise dans le typhon, Pierre Bachelet fait la voix de son ancien amour.
  23. « Crash mortel en Argentine - Olivier de Kersauson : "C'est un choc" », sur Le Point,
  24. Olivier Chapuis, « Florence Arthaud : la vie cabossée d’une fée qui n’avait pas peur des bosses », Voiles et Voiliers,
  25. Marianne Payot, « Mort de Florence Arthaud: la parution de son livre "Ce soir la mer est noire", avancée », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Edition 2007 - Une Jacques-Vabre d'anthologie », Transat Jacques-Vabre (consulté le )
  27. « Les brèves de la course », Matondo Congo - Route de l'équateur (consulté le )
  28. « 2004 : 7e Transat AG2R La Mondiale », Transat AG2R (consulté le )
  29. « 2000 : 5e Transat AG2R La Mondiale », Transat AG2R (consulté le )
  30. « 1998 : 4e Transat AG2R La Mondiale », Transat AG2R (consulté le )
  31. « 1996 : 3e Transat AG2R La Mondiale », Transat AG2R (consulté le )
  32. « Florence Arthaud » (consulté le )
  33. « Classement de la Transat Anglaise 1988 », sur Sport-histoire (consulté le )
  34. « 1986 : Une année coups de chien ! », Route du Rhum (consulté le )
  35. « 1982 : Cinquante-deux bateaux au départ ! », Route du Rhum (consulté le )
  36. (en) « TWOSTAR 1981 », sur Royal Western Yacht Club of England (consulté le )
  37. Neptune nautisme, « Florence Arthaud et Miss Dubonnet », juin 1980.
  38. Florence Arthaud, Fiancée de l'Atlantique, Rueil-Malmaison, Pen Duick, 1981, p. 86 : « Nous sommes dixièmes, troisièmes dans notre classe et premier équipage féminin. »
  39. « 1978 : La Transat de la Liberté ! », Route du Rhum (consulté le )
  40. [1] Prix féminin de l'Académie des Sports
  41. « L’hommage de la ville de Brest à Florence Arthaud », sur brest2016.fr
  42. « L’Université de Bretagne Occidentale féminise les noms de ses amphithéâtres à Brest et à Quimper », sur letelegramme.fr, (consulté le )
  43. « Les rues de Paris, promenade Florence-Arthaud, 19e », sur www.parisrues.com (consulté le )
  44. « Florence Arthaud, Alice Milliat a lorient la féminisation des noms de rue s'accélère », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  45. Gilles KERDREUX, « Le cinéma remet Florence Arthaud à bord », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  46. Élodie Bardinet, « Le biopic sur Florence Arthaud entre en tournage aujourd'hui », Première,‎ (lire en ligne)
  47. Loïck Guellec, « Route du Rhum : 32 ans après Florence Arthaud, Philippe Poupon ramène Flo en Guadeloupe », sur francebleu.fr, (consulté le )
  48. https://www.franceinter.fr/emissions/la-bande-originale/la-bande-originale-16-novembre-2020.

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