En 2022, selon un palmarès du site anglophone HouseFresh qui a agrégé les avis de dizaines de milliers de touristes, il est désigné comme étant le plus beau jardin d'Europe et troisième plus beau jardin du monde, derrière le Gardens by the Bay de Singapour et le jardin Majorelle de Marrakech[3],[4],[5].
Toponymie
Le palais et le jardin ont gardé le nom de l'ancien hôtel particulier sur lequel ils ont été construits : l'hôtel de Luxembourg (à ne pas confondre avec l'hôtel actuel dans le Marais). Il appartenait à François de Piney-Luxembourg, qui l'avait fait construire et y avait habité quelque temps avant de le vendre à Marie de Médicis[6]. À la suite de cela, on l'a aussi nommé « Palais Médicis », mais cette appellation n'est pas restée[7].
Le nom n'a qu'un lointain rapport avec le duché de Luxembourg, ancêtre de l'actuel pays. Les Piney-Luxembourg ne le possédaient pas, ils n'étaient issus que de façon indirecte, à travers plusieurs branches cadettes, de la maison de Luxembourg, une lignée allemande très prestigieuse du XIVe siècle qui avait ce duché en apanage[8]. Mais à l'époque de l'achat, cette lignée s'était éteinte depuis longtemps et le duché était détenu par l'Espagne[9].
Il est familièrement surnommé « Luco », abréviation de Lucotitius, nom donné à l'époque romaine au faubourg de Lutèce où se trouve l'actuel jardin[10] ; c'est donc une coïncidence si Luco se rapproche de Luxembourg[11].
Au début du XVIIe siècle, le quartier qui s'étend au pied de la montagne Sainte-Geneviève est peu densément peuplé et principalement constitué de séminaires, couvents, collèges et hôtels particuliers, parmi lesquels celui du duc de Piney-Luxembourg. Lorsque Marie de Médicis décide de quitter le palais du Louvre, elle pense à cette propriété où le jeune Louis XIII s'initiait à la chasse : on lâchait pour lui des marcassins dans le jardin. Les huit hectares de terrain qui entouraient la demeure permettraient à Marie de Médicis d'édifier le vaste jardin florentin dont elle rêvait. Le corps de logis n'étant pas digne de son rang, elle fait appel à l'architecte Salomon de Brosse pour l'édification d'un palais inspiré du palais Pitti de Florence. Pour la décoration, la régente s'adresse à des artistes italiens, français et flamands. Ainsi, elle fait venir Pierre Paul Rubens à Paris en 1622 pour qu'il réalise vingt-quatre tableaux retraçant les principaux épisodes de sa vie ; treize seulement furent réalisés.
Le jardin s'ouvrait devant le nouveau palais, mais ne pouvait se prolonger dans la logique perspective de la façade puisque le couvent des Chartreux se dressait à peu de distance. Richelieu exerce des pressions qui permettent de repousser le mur d'une centaine de mètres, mais en dépit de son pouvoir, Marie de Médicis échoue à faire déplacer les religieux. C'est ainsi que le parc dut s'étendre sur un des flancs du palais. Ainsi, sur le plan de Gomboust, réalisé en 1629, le jardin s'étend sur 300 mètres à peine devant l'édifice, tandis que, d'est en ouest, il occupe plus d'un kilomètre, depuis l'actuel boulevard Saint-Michel jusqu'à l'actuel boulevard Raspail. C'est donc dans ce sens transversal que courait la grande allée qui, deux siècles plus tard, après la suppression de la partie occidentale du jardin, est à l'origine de la rue de Fleurus.
La réalisation du premier jardin est confiée à Jacques Boyceau, un des plus grands spécialistes de son époque. Les plantations commencent en 1612, dès le lendemain de l'achat des terrains. Au pied du palais, autour d'une fontaine centrale, Boyceau dessine une série de parterres symétriques. Pour faciliter l'admiration de ce travail, le jardin est entouré d'un double déambulatoire surélevé, qui adopte la forme d'une terrasse à l'italienne dessinée par l'ingénieur florentin Thomas Francine. Il faut près de dix ans pour reconstruire l'aqueduc romain d'Arcueil qui alimente la fontaine depuis Rungis, à onze kilomètres de là et qui porte désormais le nom d'« aqueduc Médicis ».
En 1635, André Le Nôtre réaménage les parterres, ne pouvant dérouler la grande perspective souhaitée vers le sud du fait de la persistance du couvent des Chartreux.
Après la mort de Marie de Médicis, en 1642, le palais du Luxembourg et son jardin changent de mains à de nombreuses reprises. En 1778, le comte de Provence, frère de Louis XVI et futur Louis XVIII, reçoit le Luxembourg. Pour financer les travaux de restauration du palais, endommagé par ses occupants successifs, il aliène le tiers ouest du jardin, qui incluait l'allée des Philosophes, fréquentée par Rousseau en 1741, et la promenade des Soupirs, refuge des amoureux. C'est ainsi que l'on ouvre la rue du Luxembourg, aujourd'hui rue Guynemer, qui fixe la limite occidentale définitive du jardin.
Révolution et début du XIXe siècle
Course de vélocipèdes dans le jardin du Luxembourg, gravure de 1818.
À la Révolution, le palais transformé en prison (Danton, Desmoulins, Fabre d'Églantine, David, parmi huit cents autres détenus, y sont enfermés), le jardin est à l'abandon, seulement fréquenté par les familles des prisonniers qui cherchent à communiquer avec les leurs. Le couvent des Chartreux est réquisitionné, le mur qui obstruait la perspective vers l'Observatoire est abattu et les 26 hectares que possédaient les religieux sont annexés. Le terrain perdu quelques années auparavant à l'ouest est ainsi récupéré au sud, atteignant l'actuel boulevard du Montparnasse. En 1795, c'est le Directoire qui prend place dans le palais. Les directeurs s'installent au Petit Luxembourg, sauf Barras qui occupa l'ancien appartement royal dans l'aile ouest.
Durant les premières années du XIXe siècle, Jean-François-Thérèse Chalgrin trace l'avenue de l'Observatoire sur les anciennes terres des Chartreux. Il remodèle aussi le jardinet et dessine les décorations florales que nous connaissons aujourd'hui. Les terrasses intermédiaires de Francine sont couvertes par un talus, des perrons donnent accès à l'unique terrasse restante, la grotte de Médicis est remodelée et le bassin encadré de pelouses en demi-cercle. Au sud, il compense une dénivellation par la création d'un perron décoré de statues.
Après le coup d'État du 18 Brumaire, le palais est affecté au Sénat de l'Empire. Napoléon Ier souhaite que le jardin soit destiné aux enfants[réf. nécessaire] ; le Luxembourg est alors aménagé en conséquence avec des kiosques, des jeux, et bientôt les premières voitures à chèvres.
À partir de 1836, des travaux d'agrandissement de l'hémicycle imposent de déplacer les parterres d'une trentaine de mètres. Des bâtiments vétustes sont démolis, le mur d'enceinte du jardin est remplacé par des grilles, ce qui améliore la visibilité du palais. Les statues des reines remplacent les anciennes, trop dégradées, et Alphonse de Gisors fait construire une nouvelle orangerie.
Second Empire et travaux haussmanniens
Les principaux axes créés ou transformés entre 1850 et 1870 dans le centre de Paris.
Sous le Second Empire, l'histoire du jardin est marquée par les travaux d'urbanisme du baron Haussmann. L'ouverture du boulevard Saint-Michel — qui s'appelait alors « boulevard de Sébastopol[13] » — et de la rue de Médicis réduisent le jardin au nord-est. L'intention d'Haussmann était de laisser la grotte Médicis à son emplacement et ainsi de l'isoler sur une placette. Face aux protestations, elle est finalement démontée pierre par pierre, reconstruite et transformée en fontaine là où on peut l'admirer aujourd'hui. Un plan d'eau lui fait désormais office de miroir et la Vénus de la niche centrale est remplacée par Polyphème surprenant Galatée dans les bras d'Acis d'Auguste Ottin.
Au nord-ouest, la démolition du couvent des Filles du Calvaire et l'élargissement de la rue de Vaugirard opéré en 1845, amènent Gisors à recomposer les bâtiments entre le palais du Luxembourg et le Petit Luxembourg. Les protestations redoublent quand, en 1865, pour le percement de la rue Auguste-Comte, est annoncé le projet de suppression de la pépinière, dont les terrains doivent être bâtis. Les promenades dans cette partie sud du jardin étaient particulièrement appréciées des Parisiens. Après une inspection sur place, Napoléon III arbitre en faveur des travaux.
Souvenirs de la Commune. Une exécution dans le jardin du luxembourg, gravure sur bois anonyme de 1871. Conservée au musée Carnavalet.
Après la Commune de Paris, le , des Fédérés sont fusillés au pied de la terrasse des Reines. Une plaque est déposée en leur honneur par le Sénat le [14].
Traces des bombardements de 1918 sur un palmier du jardin du Luxembourg (détail).
Sous l'Occupation
Enfants dans les années 1900.
Sous l'Occupation, le palais du Luxembourg est le siège de l'état-major de la 3e flotte aérienne allemande. L'occupant creuse alors deux blockhaus sous le jardin (l'un à l'est, l'autre à l'ouest du palais) et installe des barbelés dans le parc. Le jardin, alors en partie fermé au public, sert de parking aux véhicules et à l'artillerie allemande[18].
Plus précisément, un « jardin allemand » est installé en 1941 dans une partie du Luxembourg ; celui-ci est interdit à la population. Il s'agit de la pelouse située dans l'axe de la façade du palais, allant jusqu'au bassin et aux allées latérales. Au printemps 1943, un grand local à pommes de terre est aussi construit près du pavillon Guynemer[19].
Le jardin continue de participer à des expositions horticoles, par exemple la Foire de Paris de 1942. Quant au jardin fruitier, il continue d'être cultivé pour l'enseignement et pour maintenir ses collections. Sa production diminue du fait du manque de main-d'œuvre et d'engrais et du « maraudage intense », comme le note un rapport de 1943. Les fruits tombés sont utilisés pour la cantine du personnel[19].
Dans le reste du jardin, le Sénat met à disposition 4 300 m de terrain transformés en potagers, sous le régime des cultures collectives d'entreprise. Entretenus par le personnel du jardin du Luxembourg, qui finance lui-même le matériel, ses récoltes sont destinées à la cantine et au personnel du jardin, des distributions gratuites pouvant être occasionnellement organisées pour le personnel du Sénat. Ces potagers sont accessibles au public le samedi après-midi[19].
Dans le jardin, les Allemands organisent régulièrement des concerts militaires. En juin 1944, ils transforment la fontaine Médicis en piscine d'été. À la veille de la Libération, le jardin est réaménagé militairement : des tranchées, des meurtrières ou encore des nids de mitrailleuses sont installés[19]. Situé près de la façade Est du palais, un blockhaus de 14 mètres de profondeur était en construction depuis 1943, mais il n'a jamais été achevé[20]. Connu sous le nom d'« abri Médicis », il sert de nos jours de lieu de stockage.
Le 25 août 1944, la 2e division blindée force les grilles de la rue Auguste-Comte et pénètre dans le jardin. Vers 17 h, c'est la reddition. Le pavillon à croix gammée est amené tandis que les Allemands déposent leurs armes dans la cour du palais. Après la Libération, le palais et le jardin sont remis dans l'état qu'on leur connait aujourd'hui[21].
Situés au cœur du Quartier latin, regroupés dans l'enceinte d'une grille dont les pointes sont recouvertes de feuilles d'or, les jardins accueillent plusieurs bâtiments classés :
le musée du Luxembourg, consacré à de grandes expositions temporaires d'art, réputées pour la qualité des œuvres présentées. On accède au palais et au musée par la rue de Vaugirard ;
l'orangerie : plusieurs bâtiments se sont succédé. L'orangerie actuelle, bâtie par Alphonse de Gisors en 1839, est située sur l'allée Delacroix. Elle abrite une collection de 180 plantes en caisse dont des agrumes, des dattiers des Canaries, des lauriers roses et des grenadiers. Certains bigaradiers, que l'on retrouve dans la partie du jardin dite à la française de mai à octobre, ont un âge estimé entre 250 à 300 ans[22]. L'été, l'orangerie sert de salle d'expositions temporaires ;
les serres du jardin du Luxembourg, attenantes à l'hôtel de Vendôme, abritent de riches collections horticoles, dont notamment plus de 400 espèces d'orchidées[23]. Ces serres sont à la fois un lieu de production de plantes pour l'embellissement du jardin et la décoration florale du palais du Luxembourg et un lieu de conservation d'un patrimoine végétal datant du milieu du XIXe siècle. Depuis le rattachement des terres du domaine des Chartreux au jardin du Luxembourg, peu après la Révolution française, en 1796, il y a toujours eu des serres à cet endroit. La première serre abrite des fougères, très utilisées comme plantes vertes dans les décorations florales. La deuxième abrite des potées fleuries comme des hortensias ou des bégonias. La température de cette serre est régulée et les plantes sont alimentées par un système de goutte-à-goutte. Enfin, la troisième serre accueille les collections d'orchidées, de bégonias et de crotons. Elle a été inaugurée en 1999, en remplacement des deux plus vieilles de la Conservation des jardins qui dataient du XIXe siècle. Cet ensemble est complété par des plates-bandes d'essais de plantes à fleurs ou à feuillage décoratif. Cette recherche permanente permet ainsi de proposer aux visiteurs du jardin, un éventail de végétaux en perpétuelle évolution, et chaque année différent.
Les serres du jardin du Luxembourg
Bégonias.
Vue d'une serre.
Orchidées.
Système d'arrosage et de climatisation des serres.
Organisation du jardin
Plan du jardin.
Le jardin possède une partie « à la française » située dans l'axe du palais et des parties « à l'anglaise » du côté de la rue Guynemer. Entre les deux s'étend la forêt géométrique des quinconces. À ces trois zones bien différenciées s'ajoutent, au sud, les pelouses et un verger conservatoire de variétés anciennes de fruitiers, principalement des pommiers et des poiriers, situé face au lycée Montaigne, sur le côté de la rue Auguste-Comte.
L'ensemble du jardin est parcouru d'allées permettant la promenade et la flânerie. L'une d'elles est évoquée dans un poème de Gérard de Nerval intitulé Une allée du Luxembourg :
Elle a passé, la jeune fille […]
Parfum, jeune fille, harmonie…
Le bonheur passait, il a fui !
On trouve des cultures de plantes de massifs destinées aux parterres du jardin et des serres abritant des plantes vertes et à fleurs destinées à la décoration des intérieurs du palais. Un rucher situé à proximité du pavillon Davioud (porte Vavin) permet de s'initier à l'apiculture.
Construit en 1867 par Gabriel Davioud, le pavillon qui porte aujourd'hui son nom est d'abord appelé « buffet de la Pépinière ». Il s'agit à l'époque d'un café-restaurant. Il accueille de nos jours des cours l'École d’horticulture du Luxembourg (publics et gratuits), des conférences des auditeurs des cours du Luxembourg et de la Société centrale d'apiculture et enfin, l'été, des expositions artistiques[24].
Vue du bassin à l'automne.
Les jardins à l'anglaise.
Le rucher.
Pavillon Davioud.
Théâtre des Marionnettes.
À proximité du kiosque à musique, un restaurant ouvre sa terrasse à l'ombre des marronniers. Depuis 1933, le Théâtre des Marionnettes, géré par Robert Desarthis jusqu'en 1971 puis son fils Francis-Claude Desarthis, organise des représentations et dispose d'une capacité d'accueil de 275 places, faisant de ce site le plus important du genre en France[25].
Le jardin accueille des activités sportives : tennis, basket-ball, arts martiaux, ainsi que les phases finales du championnat de France de jeu de paume, qui ont lieu le premier dimanche de septembre. Le terrain du jeu de paume du Sénat a accueilli les épreuves des Jeux olympiques d'été de 1900. Dans le coin nord-ouest, près de l'orangerie, des joueurs d'échecs (douze tables fournies par le Sénat) se rencontrent régulièrement, même en plein hiver, alors que ceux de bridge (trois tables) attendent les beaux jours pour se retrouver en milieu d'après-midi à l'est des quatre courts de tennis. Les chaisières, chargées de percevoir le paiement fixé pour avoir le droit de s'asseoir sur l'une des chaises Sénat, font partie des métiers disparus. Avant la Première Guerre mondiale, le tarif s'élevait à vingt sous. En 1920, les tarifs sont de 0,20 franc pour les chaises et 0,30 franc pour les fauteuils. Finalement, ce n'est qu'en 1974 que les chaises deviennent gratuites pour tous.
Exposition photographique le long des grilles du jardin, rue de Médicis (2023).
À la suite d'une idée originale de Stephane Sednaoui, qu'il a proposée en 1995 à l'UNESCO pour un projet finalement non réalisé[27], des expositions de photographies sont régulièrement organisées sur les grilles extérieures depuis 1997 ; d'autres types d'expositions sont également installés à l'intérieur du jardin.
Dans le coin nord-est, le kiosque à musique est le cadre de concerts dont le programme est affiché tout au long de l'été. Dans le jardin, on donne des représentations d'opéra. Des activités sont également proposées aux enfants : parc à jeux, promenades à dos de poney sur l'allée des ânes et théâtre de marionnettes (créé en 1933)[28].
Sur le bassin principal évoluent des modèles réduits de bateaux télécommandés ou à voile et au nord-ouest du jardin se trouvent des espaces aménagés pour les joueurs d'échecs.
Concert au kiosque à musique en 2005.
Les poneys du jardin du Luxembourg.
Le bassin principal.
Joueurs d'échecs.
À l'ouverture des grilles, le périmètre intérieur du jardin, d'une longueur de deux kilomètres et d'une dénivelée positive de cinq mètres, devient un espace improvisé pour la pratique de la course à pied sur un terrain alternant piste bétonnée et terre[29]. La dernière édition en date des « Courses du Luxembourg » (automne 2022), manifestation sportive populaire avec deux épreuves (cinq kilomètres et dix kilomètres), s'est déroulée au cœur du jardin du Luxembourg.
Faune et flore
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Il y a 60 jardiniers en 2016 (ils furent 400 jadis)[réf. nécessaire]. Les jardiniers sont recrutés par concours. Les fleurs et plantes qui ornent le jardin sont élevées par les jardiniers dans les serres se trouvant à l'angle de la rue Auguste-Comte et du boulevard Saint-Michel.
1906 : Une nuit au Luxembourg, roman de Rémy de Gourmont, publié en 1906.
1908 : Le Magicien, roman de Somerset Maugham, commence dans le jardin où le narrateur rencontre pour la première fois le personnage qui représente dans l'histoire qui suit[pas clair] le notoire occultiste britannique Aleister Crowley.
2014 : La Fête de l'insignifiance de Milan Kundera, Éditions Gallimard (NRF).
2014 : Caprice de la reine (nouvelle : Vingt femmes dans le jardin du Luxembourg et dans le sens des aiguilles d'une montre) de Jean Echenoz, Les Éditions de Minuit.
↑Arthur Hustin, Le Luxembourg, son histoire domaniale, architecturale, décorative et anecdotique, Impr. du Sénat, 1910
↑Guide de l'étranger dans Paris et ses environs, Hôtel du Louvre, 1875, page 200 [lire en ligne]
↑Louis Moréri, Le grand dictionaire historique, ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, à l'entrée « Luxembourg », nombreux éditeurs, 1740 [lire en ligne]
↑Jean Bertholet, Histoire Ecclésiastique Et Civile Du Duché De Luxembourg Et Comté De Chiny, Volume 8, page 57 (attention il y a plusieurs séries de numérotations), Chevalier, 1743 [(fr) lire en ligne]
↑Jacques Selvaggi (dir.), Jean-Noël Burte et Dominique Bouchacourt, « le Jardin du Luxembourg », Monuments historiques, no 108 « Le Néo-classicisme », , p. 85–108.
↑Annie Epelbaum-Moreau, Si le Luxembourg m'était conté, Paris, Buchet-Chastel, , 171 p. (ISBN2-283-01734-3), p. 7.
L.-A. Justin, « La Création du jardin du Luxembourg par Marie de Médicis », dans Archives de l'art français, 1916, tome 8, nouvelle série, p. 86-109(lire en ligne).
A. Perrault-Dabot, « Les statues de l'époque romantique dans le jardin du Luxembourg », dans Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France, 1929, p. 83-91(lire en ligne)
Le Sénat. Palais et jardins du Luxembourg, Imprimerie nationale Éditions, 1994 (ISBN2-11-081369-5).