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Projet de PhotoWalk proposé par Carine - R&D RSVP design indieweb pour participer. portraittof

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Emily in Paris
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo original de la série.
Autres titres
francophones
Emily à Paris (Drapeau du Québec Québec)
Genre Comédie dramatique et romantique
Création Darren Star
Production Darren Star Productions
Jax Media
MTV Entertainment Studios
Acteurs principaux Lily Collins
Philippine Leroy-Beaulieu
Ashley Park
Lucas Bravo
Samuel Arnold
Bruno Gouery
Camille Razat
(liste complète)
Musique James Newton Howard
Chris Alan Lee
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Chaîne d'origine Netflix
Nb. de saisons 4Voir et modifier les données sur Wikidata
Nb. d'épisodes 40Voir et modifier les données sur Wikidata
Format 2160p (HDR)
Durée 24-38 minutes
Diff. originale en production
Site web Site officiel

Emily in Paris, ou Emily à Paris au Québec, est une série télévisée américaine créée par Darren Star et diffusée depuis le [1] sur le service Netflix partout dans le monde.

Synopsis

Emily Jane Cooper, une Américaine originaire de Chicago, accepte de déménager en France, et plus précisément à Paris, pour saisir une opportunité professionnelle. En effet, la société de marketing où elle travaille vient de faire l'acquisition de Savoir, une autre société spécialisée dans le marketing basée en France. L'agence d'Emily souhaite y apporter un point de vue américain pour moderniser son image.

S'adapter à la vie parisienne ne va pas être facile pour Emily qui va vivre un véritable choc culturel tout en jonglant entre sa nouvelle carrière, ses nouveaux amis et sa vie amoureuse. Elle va devoir s'adapter aux mœurs françaises, aux nombreux prétendants et aux clichés qui s'ensuivent[2].

Distribution

Personnages principaux

Personnages récurrents

  • Kate Walsh (VF : Sharon Mann) : Madeline Wheeler, patronne d'Emily à Chicago (saisons 1 à 3)
  • Jean-Christophe Bouvet (VF : lui-même) : Pierre Cadault, créateur de mode (saisons 1 à 3)
  • Charles Martins (VF : lui-même) : Mathieu Cadault (saisons 1 et 2)
  • Céline Menville : Jacqueline, professeure de français (saisons 2 et 3 - invitée saison 1)
  • Jeremy O. Harris (en) (VF : Jean-Baptiste Anoumon) : Grégory Elliot Duprée, créateur et rival de Pierre (saisons 2 et 3, invité saison 4)
  • Kevin Dias (VF : lui-même) : Benoît, ex petit ami de Mindy et guitariste de son groupe (depuis la saison 2)
  • Jin Xuan Mao (VF : lui-même) : Étienne, membre de groupe de Mindy (depuis la saison 2)
  • Arnaud Binard (VF : lui-même) : Laurent Grateau, mari de Sylvie et père de Geneviève (depuis la saison 3, invité saison 2)
  • Søren Bregendal (da) (VF : Alexandre Gillet) : Erik DeGroot, amant de Sylvie (saisons 2 et 3)
  • Melia Kreiling (VF : Kelly Marot) : Sofia Sideris, petite amie de Camille (saisons 3 et 4)
  • Paul Forman (VF : lui-même) : Nicolas de Léon, petit ami de Mindy et gérant de JVMA (depuis la saison 3)
  • Eugenio Franceschini (VF : Julien Bouanich) : Marcello Muratori, petit ami d'Emily à Rome et gérant de la Maison Muratori (depuis la saison 4)
  • Thalia Besson (VF : elle-même) : Geneviève Grateau, fille de Laurent (depuis la saison 4)

Personnages invités

  • Camille Japy (VF : elle-même) : Louise, la mère de Camille (depuis la saison 1)
  • Christophe Guybet (VF : lui-même) : Gérard, le père de Camille (depuis la saison 1)
  • Victor Meutelet (VF : lui-même) : Timothée, le frère de Camille (depuis la saison 1)
  • Eion Bailey (VF : Douglas Rand) : Randy Zimmer (saison 1)
  • Elizabeth Tan (VF : Nadine Girard) : Li, amie de Mindy (saisons 1 et 4)
  • Liliane Rovère (VF : elle-même) : Héloïse, la mère de Sylvie (saison 4)
  • Brigitte Macron : elle-même (saison 4)
  • Debi Mazar (VF : muette): Marlena (saison 4)
  • Anna Galiena (VF : elle-même) : Antonia Muratori (saison 4)
  • Rupert Everett (VF : Mathieu Buscatto) : Giorgio Barbieri (saison 4)

 Source et légende : Version française (VF) sur RS Doublage[3] et le carton de doublage sur Netflix.

Production

Développement

En , la chaîne Paramount Network dévoile qu'elle diffusera la nouvelle série de Darren Star, créateur de Sex and the City, qui est en cours de développement sur le réseau câblé de Viacom, et commande une première saison de dix épisodes. Darren Star et le producteur Tony Hernandez de la société Jax Media sont les producteurs délégués du projet[4].

En , ViacomCBS annonce avoir vendu les droits de diffusion de la série au service Netflix. Le conglomérat sera toujours chargé de la production de la série via sa filiale MTV Entertainment Studios, mais n'en sera plus le diffuseur[5].

En , Netflix annonce le renouvellement de la série pour une deuxième saison. L'annonce est accompagnée d'une fausse lettre écrite par le personnage de Sylvie Grateau, avec un numéro de téléphone renvoyant vers le répondeur d'Emily, pour lequel Lily Collins a prêté sa voix[6]. Après la diffusion de cette deuxième saison, la série est renouvelée par le service pour deux saisons supplémentaires, commandées en [7].

En septembre 2024, Netflix annonce avoir commandé une saison 5[8].

Distributions des rôles

En , Lily Collins rejoint la distribution pour le rôle titre[9]. Elle est suivie en par l'actrice et chanteuse Ashley Park, connue pour son rôle dans l'adaptation musicale de Mean Girls, qui signe pour interpréter une amie d'Emily[10].

En , le reste de la distribution est dévoilé par la chaîne : avec Philippine Leroy-Beaulieu, Lucas Bravo, Samuel Arnold, Camille Razat et Bruno Gouery qui rejoignent la distribution principale et Kate Walsh, William Abadie et Arnaud Viard qui signent pour des rôles récurrents[11].

En , il est annoncé que William Abadie est promu à la distribution principale à partir de la deuxième saison et l'acteur britannique Lucien Laviscount signe pour le rôle d'Alfie, un personnage récurrent[12].

Tournage

1, place de l'Estrapade, où loge Emily

Le tournage a lieu en France, dans la ville de Paris[10], ainsi que dans sa banlieue. Certaines scènes en intérieur sont filmées à la Cité du cinéma à Saint-Denis[13].

Le tournage de la première saison débute en , dont un épisode est également tourné en Indre-et-Loire, au château de Sonnay[14],[15]. Des scènes supplémentaires sont par la suite tournées à Chicago aux États-Unis[16]. Un autre épisode est tourné le dans le 1er arrondissement à la Crémerie de Paris Hôtel de Villeroy[17] puis sur le Pont des Arts.

En , le journal Le Monde se fait l'écho de l'exaspération des riverains face à l'équipe de la série, jugée brutale, arrogante et trop envahissante. Si la série trouve un accueil favorable auprès des commerçants du Ve arrondissement, car indemnisés et valorisés par la visibilité offerte par la série, un habitant du quartier se voit confisquer son téléphone pour avoir pris, de loin, une photo du tournage, un autre se voit vertement reprocher de circuler sur le trottoir quand un troisième se voit répondre « si vous n'êtes pas content, vous n'avez qu'à aller habiter en province » après s'être plaint de l'impossibilité, journalière, de se garer[18].

Fiche technique

Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Épisodes

Saisons Nombre
d'épisodes
Monde Diffusion originale
1 10
2
3
4

Première saison (2020)

Composée de dix épisodes, elle a été mise en ligne le .

  1. Emily à Paris (Emily in Paris)
  2. Masculin Féminin
  3. Sexy ou sexiste (Sexy or Sexist)
  4. Juste un baiser (A Kiss Is Just A Kiss)
  5. Faux amis
  6. Ringarde
  7. Une fin à la française (French Ending)
  8. Affaires de famille (Family Affair)
  9. Vente aux enchères américaine à Paris (An American Auction in Paris)
  10. Défilé annulé (Cancel Couture)

Deuxième saison (2021)

Composée de dix épisodes, elle a été mise en ligne le [19] sur Netflix.

  1. Voulez-vous coucher avec moi ?
  2. Bienvenue à Saint-Tropez (Do You Know the Way to St. Tropez)
  3. Bon anniversaire
  4. Jules et Emily (Jules and Em)
  5. Un Anglais à Paris (An Englishman in Paris)
  6. Le Point d'ébullition (Boiling Point)
  7. Le Cuisinier, la voleuse et l'amant (The Cook, the Thief, Her Ghost and His Lover)
  8. Champagne et autres problèmes (Champagne Problems)
  9. Senteurs et sentiments (Scents and Sensibility)
  10. Une révolution française (French Revolution)

Troisième saison (2022)

Composée de dix épisodes, elle a été mise en ligne le [20] sur Netflix.

  1. J'ai deux amours (I Have Two Loves)
  2. Qu'est-ce que ça veut dire? (What's It All About…)
  3. Le pigeon de la farce (Coo D'état)
  4. Emily part en live (Live From Paris, It's Emily Cooper)
  5. La liste (Ooo La La Liste)
  6. Ex-en-provence (Ex-en-provence)
  7. Comment se faire larguer en beauté (How To Lose A Designer in 10 Days)
  8. Fashion victime (Fashion Victim)
  9. Il y a de l'amour dans l'air (Love Is in the Air)
  10. Oh mon beau château de cartes… (Charade)

Quatrième saison (2024)

En juin 2023, Netflix annonce que la quatrième saison est repoussée en raison d'un mouvement social au sein de l'entreprise[21].

La saison 4 est mise en ligne sur Netflix en deux vagues : les épisodes 1 à 5 sortent le tandis que les épisodes 6 à 10 sont disponibles le [22].

  1. Balle de break (Break Point)
  2. L'amour en fuite (Love on the Run)
  3. Au bal masqué (Masquerade)
  4. La zone grise (The Grey Area)
  5. Trompe-l'œil (Trompe l'oeil)
  6. Souvenirs de Noël (Last Christmas)
  7. Lost in Translation (Lost in Translation)
  8. Et vite se remettre en selle… (Back on the Crazy Horse)
  9. Vacances romaines (Roman Holiday)
  10. Tous les chemins mènent à Rome (All Roads Lead to Rome)

Univers de la série

Boulangerie de la rue des Fossés-Saint-Jacques

Lieux

La plupart des scènes se passent à Savoir, son lieu de travail, place de Valois près du Palais Royal.

Emily habite dans l'immeuble dit « la Maison Moreau » au 1, place de l'Estrapade dans le quartier latin à Paris.

De plus, plusieurs scènes ont lieu dans le restaurant de Gabriel (18, rue des Fossés-Saint-Jacques) voisin de son appartement et attenant à une boulangerie dont la façade est classée aux monuments historiques.

Les personnages passent plus de temps au travail ou dans des lieux de rencontres liés au travail comme des cafés que dans des moments personnels[23].

Personnages

  • Emily Cooper : Emily est une femme brillante et assumée. Elle porte fièrement des tenues colorées et dignes de la haute couture. Très bavarde, elle aime partager ses idées avec ses collègues et obtenir la reconnaissance qu'elle mérite.
  • Sylvie Grateau : Sylvie est une femme ayant une apparence soignée tout en étant difficile à approcher. Elle est à la tête de Savoir, elle occupe donc le rôle de patronne pour Emily. Elle connait sa valeur et elle est à l'aise dans sa routine et ses habitudes. Sa vie amoureuse est tumultueuse, mais elle ne laisse pas paraître ses émotions profondes avec les autres.
  • Mindy Chen : Mindy est la première personne à être devenue amie avec Emily lors de son arrivée en France. Mindy est née en Chine de parents riches. Elle a voulu poursuivre son rêve de vivre à Paris et acquérir un sentiment de liberté.
  • Gabriel : Gabriel est un chef de la cuisine française. Il est aussi le voisin d'Emily puisqu'il habite l'appartement situé sous celui d'Emily. Travailleur et séduisant, Gabriel ne laisse pas Emily indifférente.
  • Camille : Camille est une belle femme qui se tisse d'amitié facilement avec Emily. Elle vient de Champagne où ses parents possèdent une luxueuse maison ainsi qu'une production de champagne. Elle travaille dans une galerie d'art fréquentée par des personnes connues et renommées.
  • Pierre Cadault : caricature d'un couturier français, un peu mégalomane, inspirée d'un mélange de Pierre Cardin et de Karl Lagerfeld[24].

Mode

Patricia Field, Florence Clamond et Marylin Fitoussi conçoivent les tenues de la série, et plus particulièrement celles de Lily Collins. Pour les costumières, le peu de respect d'Emily Cooper pour « les idées reçues sur le chic parisien », ou « son fantasme du style à la française », mélangeant styles, motifs ou couleurs, devient sources d'influences[25],[26],[27].

Des pièces de plusieurs entreprises françaises sont utilisées dans la série, comme Laulhère, Carel avec un sac en plastique recyclé[28], Sandro, Maje, Iro et Aigle et des marques plus luxueuses comme Louboutin, Chanel, Alexandre Vauthier et Kenzo[27],[29]. Des marques étrangères sont utilisées comme Barrie, Christian Siriano, Off-White et Dolce & Gabbana lors de la première saison[30].

Sur le réseau social Instagram plusieurs comptes décryptent les tenues de la série. Le succès aidant, les marques approvisionnent souvent gratuitement les stylistes de la série afin d'être utilisées à l'écran : ce sont plus de 10 000 vêtements ou accessoires que cette dernière conserve[25]. Face à cette influence, ViacomCBS et Netflix proposent une collection dédiée à la série sur la boutique en ligne du service, avec notamment une collection de lunettes de soleil en collaboration avec la marque Zeus+Dione[25],[26],[31].

Le budget vestimentaire du personnage d'Emily a été estimé à environ quatre-vingt mille euros[32].

Accueil

Audiences

Lors de la semaine de la sortie de sa première saison, la série était le programme en streaming le plus regardé aux États-Unis d'après la société américaine Nielsen, spécialisée dans la mesure d'audience[33]. En , Netflix dévoile que cette dernière a été regardée par 58 millions de spectateurs dans le monde depuis sa sortie, ce qui a permis la commande de la deuxième saison[25]. Au Royaume-Uni, la saison est restée dans le top dix du service pendant quarante semaines consécutives[34].

Critique

Lors de son lancement, la série reçoit des critiques majoritairement positives aux États-Unis. Sur Rotten Tomatoes, la première saison obtient 76 % de critiques positives, avec une note moyenne de 5,1/10 sur la base de seize critiques positives et cinq négatives. Le consensus critique établi par le site résume que « même si sa vision de la France est très cliché, Emily in Paris est une comédie romantique fantaisiste, avec des costumes spectaculaires et des performances charmantes »[35].

Néanmoins, en France, la presse réserve un accueil plus froid à la série, avec un défilé de commentaires négatifs[36]. La série est critiquée pour sa vision très américaine, clichée et fantasmée du pays. La description péjorative des Français est également pointée du doigt par les journalistes, incluant le magazine Première, qui résume que pour la série, ils « sont fainéants et n'arrivent jamais au bureau avant la fin de matinée, qu'ils sont d'incorrigibles dragueurs pas franchement attachés au concept de fidélité, qu'ils sont sexistes et rétrogrades, et bien sûr, qu'ils ont un rapport douteux avec leur douche »[37],[38],[39],[40],[41],[42].

Le jour de son lancement, la série se retrouve rapidement en tendance sur Twitter, des internautes français s'amusant des différents stéréotypes que la série véhicule[43],[44]. Quelques jours plus tard, la série est au cœur d'un grand détournement sur internet, avec des montages s'amusant à placer l'héroïne dans un Paris plus réaliste, dans le métro ou encore dans d'autres villes de France[45].

Une semaine après le démarrage de la série, Les Inrocks estiment que le défilé de réactions négatives en France n'a pas desservi la série : selon le magazine, la série a probablement été « conçue pour qu’on adore la détester » et a « somme toute bien réussi son coup », la série semblant « s'être faite [sic] une place de choix dans le programme de binge-watching de ses haters ». Pour Les Inrocks, le public, malgré les critiques sur le manque de réalisme et les clichés de la série, apprécie que, « si les Français paraissent ici effectivement méchants et paresseux, ils sont aussi dépeints comme des êtres à part, supérieurement doués de goût, de détachement amoureux, de liberté sexuelle, habités par un rapport au monde inaccessible à leurs vulgaires cousins d'outre-Atlantique[36]. » Certains journalistes estiment que, dans la série, les a priori culturels sont exploités dans les deux sens : ainsi, selon Le Figaro, « chacun en prend pour son grade », que ce soient les Français ou les Américains[37],[46],[40],[36].

Déclarations de la mairie de Paris

Alors que depuis le lancement de la série celle-ci a une incidence directe et importante sur l'affluence de touristes à Paris et en particulier dans les lieux emblématiques de la série, ainsi que sur le chiffre d'affaires des restaurants, boulangeries ou agences immobilières des quartiers concernés[47], plusieurs élus de la mairie de Paris, en grande majorité écologistes, écrivent une tribune publiée le 14 janvier 2023 dans le magazine Libération[48] dans laquelle ils s'inquiètent des conséquences possibles sur l'image de Paris (stéréotypée, idéalisée, feutrée) véhiculée par la série, car pour eux cette image serait contraire aux défis climatiques.

Ils considèrent par exemple que l'enjeu de la ville, si « nous voulons conserver l’identité de nos villes, est bien de redéfinir collectivement les critères du beau et de la préservation du patrimoine à l’épreuve du choc climatique auquel nous sommes confrontés. » Et soulignent également l'opportunité que pourrait représenter la peinture en blanc des historiques toits en zinc parisien. « Il s’agit bien de sortir de la nostalgie d’une ville stéréotypée et d’inventer une nouvelle cohérence esthétique adaptée à un monde qui change. »

Les auteurs de cette tribune sont David Belliard, maire adjoint aux transports et à la transformation de l’espace public, Alexandre Florentin, conseiller de Paris et initiateur de la mission d’information et d’évaluation Paris sous 50 degrés, Dan Lert, maire adjoint chargé du climat et de la transition écologique, Carine Petit, maire du XIVe arrondissement, et Emmanuelle Pierre-Marie, maire du XIIe arrondissement[49].

La publication est largement relayée dans les médias le jour même, en particulier dans ceux de France Télévisions.

Distinctions

Nominations

Références

  1. (en) Andy Swift, « Emily in Paris Gets Netflix Premiere Date — Watch First Trailer for Younger Creator's Très Jolie Rom-Com », sur TVLine, .
  2. Thomas Sotinel, « Pause séries : "Emily in Paris", #metoo, moi non plus », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « Fiche de doublage », sur RS Doublage (consulté le )
  4. (en) Nellie Andreeva et Denise Petski, « Younger Moves To Paramount Network For Season 6, Net Orders New Darren Star Series Emily In Paris, Sets Dramedy Night », sur Deadline.com, .
  5. (en) Nellie Andreeva, « Emily In Paris Picked Up By Netflix; Darren Star’s Comedy Series Starring Lily Collins Moves To Streamer From Paramount Network », sur Deadline.com, .
  6. (en) Peter White, « Emily In Paris Renewed At Netflix For Season 2 », sur Deadline.com, .
  7. Nawal Bonnefoy, « Netflix : La série Emily in Paris renouvelée pour une troisième et quatrième saisons », sur BFM TV, .
  8. Charles Martin, « Emily in Paris : Netflix annonce officiellement la saison 5 », sur premiere.fr, (consulté le )
  9. (en) Nellie Andreeva, « Lily Collins To Star In Darren Star’s Emily In Paris Dramedy At Paramount Network As Star’s Younger Eyes TV Land Return », sur Deadline.com, .
  10. a et b (en) Denise Petski, « Ashley Park To Co-Star In Darren Star’s Paramount Network Series Emily In Paris », sur Deadline.com, .
  11. (en) Denise Petski, « Emily In Paris: Darren Star’s Paramount Network Dramedy Rounds Out Cast; Sets Directors, Costume Designers », sur deadline.com, .
  12. (en) Denise Petski, « Emily In Paris Ups William Abadie To Series Regular; Lucien Laviscount Joins As Recurring », sur deadline.com, .
  13. « Emily in Paris, la nouvelle série événement de Netflix », sur Actu Paris, (consulté le ).
  14. Sophie, « Hollywood en Touraine : dans les coulisses d’un tournage ! », sur valdeloirebysophie.com, .
  15. Julien Coquet, « Indre-et-Loire : au château de Sonnay, sur les pas de Emily in Paris », sur lanouvellerepublique.fr, (consulté le ).
  16. (en) Tracy Swartz, « New series from Sex and the City creator briefly filming in Chicago », sur Chicago Tribune, .
  17. Tournage Emily à la Crémerie de Paris, Hôtel de Villeroy Bourbon, transformée en Gym
  18. Robin Richardot, « « Ils pensent avoir acheté tout le quartier » : « Emily in Paris », une voisine envahissante », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant)
  19. (en) Vlada Gelman, « Emily in Paris Sets Season 2 Premiere Date, Unveils Teaser Video », sur TVLine,
  20. (en) Vlada Gelman, « Emily in Paris Gets Season 3 Release Date (and Bangs!) in Teaser Video », sur TVLine,
  21. « Emily in Paris : le tournage de la saison 4 repoussé », sur Premiere.fr, (consulté le )
  22. Radhika Seth et Jordan Bako, « Eurovision, vacances à Rome… À quoi s'attendre pour la saison 4 d'Emily in Paris ? », sur vogue.fr, (consulté le )
  23. Bernard Fusulier et Chantal Nicole-Drancourt, « Retour sur l'impossible conciliation Travail/Famille », Revue Interventions économiques. Papers in Political Economy, no 53,‎ (ISSN 1710-7377, lire en ligne, consulté le )
  24. Sophie Fontanel, « Dessine-moi un designer », L'Obs, no 3042,‎ , p. 101 (ISSN 0029-4713)
  25. a b c et d Tiphaine Menon, « L'étoffe des héros », Paris Match, no 3787,‎ du 2 au 8 décembre 2021, p. 156 à 162 (ISSN 0397-1635)
  26. a et b Marie Lamaiziere, « Emily in Paris : Neflix lance un e-shop pour acheter les vêtements de la série », sur voici.fr, (consulté le )
  27. a et b Marion Malabre, « Emily in Paris : des marques françaises parmi les costumes de la série », sur voici.fr, (consulté le )
  28. Magali Moulinet, « La nouvelle génération Carel », L'Obs, no 2980,‎ , p. 119 (ISSN 0029-4713)
  29. Camille Choteau, « Emily in Paris 2 : la série mode qui provoque déjà des ruptures de stock ! », sur gala.fr, (consulté le )
  30. Candice Mellot, « « Emily in Paris » : ces looks ultra-mode qu’on copiera toutes à Lily Collins », sur mariefrance.fr, (consulté le )
  31. Blanche Marcel, « Netflix lance un eshop pour s'habiller comme dans la série Emily In Paris », sur madame.lefigaro.fr, (consulté le )
  32. Cécile Fischer, « Emily in Paris (Netflix) : voici le vrai coût exorbitant de la vie d'Emily », sur cosmopolitan.fr, (consulté le ).
  33. (en) Mónica Marie Zorrilla, « Emily in Paris Sampled by 58 Million Netflix Households Worldwide », sur Variety.com,
  34. (en) Mathew Rockford, « Emily in Paris Season 2 Renewal Status and Production Details », sur dailyresearchplot.com,
  35. (en) « Emily in Paris saison 1 », sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
  36. a b et c « Faut-il vraiment détester Emily in Paris ? », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  37. a et b « Emily in Paris, la tentation capitale de Darren Star arrive sur Netflix », sur Le Figaro, (consulté le ).
  38. « Emily in Paris sur Netflix : que de clichés sur la capitale ! », sur Le Parisien, .
  39. « Emily in Paris sur Netflix : une comédie romantique pour amateurs de clichés sur la capitale », sur Télérama, .
  40. a et b « Emily in Paris, c'est un peu Sex in the City de le France (critique) », sur Première, .
  41. « Emily in Paris : Une série Netflix charmante mais pleine de clichés », sur Brain Damaged, .
  42. (en) Abid Rahman, « "Embarrassing": Netflix's Emily in Paris Blasted by French Critics », sur The Hollywood Reporter.com, .
  43. « Emily in Paris (Netflix) : les clichés sur les français amusent les internautes », sur Télé 7 jours, .
  44. « Emily in Paris (Netflix) : le Paris fantasmé de la série fait hurler les Français », sur RTL, .
  45. « Emily in la ligne 13, Emily in Toulouse… Ou les détournements narquois de la série Emily in Paris », sur lefigaro.fr, .
  46. « Que vaut Emily in Paris, présenté comme le Sex and the city de Netflix ? », sur sudinfo.be avec Ciné-Télé-Revue, (consulté le ).
  47. « Emily in Paris : la mairie de Paris très remontée contre la série Netflix », sur Europe1, .
  48. « TRIBUNE : Emily in Paris dans la capitale du déni climatique », sur Libération,
  49. « "Caricature urbaine" : la mairie de Paris fustige la série “Emily in Paris” », .

Voir aussi

Bibliographie

  • Nadia Pantel, « Tout le monde déteste Emily. L'héroïne américaine de la série Emily in Paris lancée le sur Netflix, exaspère de nombreux Français. La correspondante à Paris de la Süddeutsche Zeitung s'en amuse », Courrier international no 1564, Courrier international S.A., Paris, , p. 48-49 (ISSN 1154-516X), article original paru dans Süddeutsche Zeitung, Munich, le

Liens externes


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