Différences entre versions de « 2019-242 »
De Mi caja de notas
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
<blockquote>Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.<footer>[[Sénèque]] - <footer>[[Lettres à Lucilius]]</footer> | <blockquote>Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.<footer>[[Sénèque]] - <footer>[[Lettres à Lucilius]]</footer> | ||
</blockquote> | </blockquote> | ||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
− | |||
== Famille == | == Famille == |
Version du 31 août 2019 à 10:00
aphorisme du jour
Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.<footer>Sénèque - <footer>Lettres à Lucilius</footer>
Famille
Contact Thibault Itart-Longueville via formulaire de contact pour discussion domaine itart-longueville.fr
📚textes et inspirations
Ils sont toujours vivants
Je n’ai qu’une certitude :
Ceux que j’ai aimés, ma famille, mes camarades, mes enfants, demeurent vivants en moi.
Ils guident encore mes pas.
Leur être fidèle, ce n’est pas s’enfermer dans la douleur. Il faut continuer de creuser le sillon : droit et profond.
Comme ils l’auraient fait eux-mêmes. Comme on l’aurait fait avec eux, pour eux.
Être fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu, c’est les faire vivre en nous.
C’est transmettre leur visage, leur voix, leur message aux autres.
Ainsi la vie des disparus germe sans fin.
Je ne sais pas si je dois me dire croyant.
Je ne puis dire : je crois en Dieu.
Je ne puis dire non plus : je crois…
Ce que je sais seulement, c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l'on portait à ceux qui ne sont plus…
Je le sais parce que tous les jours je vis avec les miens…
Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens.
Ce que je sais encore, c’est que l’amour est la clé de l’existence.
Ce que je sais enfin, c’est que l'amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort et de la barbarie.
Tout cela, je le sais, je le crois…
Dieu est-il au creux de ces certitudes ?
Je ne sais pas… Je cherche…
<footer>Martin Gray (auteur d'Au nom de tous les miens)</footer>
La Voile
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est la beauté et la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon.
Quelqu’un à mon coté dit : « il est parti ».
Parti vers où ? Parti de mon regard c’est tout.
Son mât est toujours aussi haut, sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et au moment où quelqu’un auprès de moi dit : « il est parti »,
il y a en d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
s’exclament avec joie : le voilà ».
C'est cela la mort.
Il n'y a pas de morts,
il y a des vivants sur les deux rives.
(d'après?) William Blake
Humeur du jour
Concert de Laura Perrudin à 12h00 au Parc Floral de Vincennes avant d'aller dîner à Marnes ?
Love. -- xtof 30 août 2019 à 08:48 (UTC)
<iframe width="100%" height="52" src="https://embed.song.link/?url=https%3A%2F%2Fsong.link%2Falbum%2Ffr%2Fi%2F1245874061&theme=light" frameborder="0" allowfullscreen sandbox="allow-same-origin allow-scripts allow-presentation allow-popups allow-popups-to-escape-sandbox"></iframe>
<iframe src="https://open.spotify.com/embed/album/4bwGPDpneVJvDPsj9c5vt7" width="300" height="380" frameborder="0" allowtransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe>