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De Mi caja de notas

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Une publication périodique (en anglais periodical publication ou periodical literature), ou simplement un périodique, est une publication paraissant à intervalles réguliers[1]. Les magazines et les revues sont deux catégories de titres de presse qui en font partie. Le terme publication périodique est généralement utilisé pour regrouper sous une même appellation, journaux, magazines, revues spécialisées, scientifiques ou professionnelles, qui ont ce mode de parution.

« Un périodique est aussi une publication collective, à titre légal, qui paraît à intervalles réguliers fixés à l’avance, pendant un temps non limité et dont les fascicules s’enchaînent chronologiquement les uns aux autres pour constituer en fin d’année un ou plusieurs volumes qui prennent leur rang dans une série continue[2]. »

Modes de diffusion

Un kiosque à journaux à Toulouse (France) en 1957.

Le type de périodiques actuels tels que nous le connaissons a tout au plus trois siècles. L'imprimerie elle-même (Gutenberg) date du XVe siècle.

La diffusion des périodiques imprimés a été généralement assurée par la distribution (acheminement) des exemplaires papier, mis à disposition en kiosque ou en librairie, ou encore dans le cas des abonnement en particulier, par portage, livraison directe à l'adresse choisie par le lecteur.

Ces métiers de l'impression et de la distribution[3] des journaux ont été bouleversés par l'introduction du mode de diffusion via internet des publications électroniques. Par extension, le terme publication périodique désigne aussi de nos jours les publications électroniques consultables via Internet, dont les versions en ligne des titres de presse disponibles aussi en version papier[4].

Publications scientifiques

Le périodique est l’outil privilégié de publications pour la communauté scientifique, pour publier les résultats de recherches. Toutefois, ce n’est que dans les soixante-dix dernières années qu’il dépasse les publications de livre pour cette communauté d’usagers[5].

Dans le domaine de la médecine, par exemple, on retrouve énormément de publications périodiques. Des bases de données, comme MEDLINE, contiennent une manne d’informations sur différents sujets liés à la santé[6]. L’on retrouve dans ces bases de données souvent des informations cruciales pour les professionnels du milieu de la santé. L’information est vitale tout autant que leur accès, car les informations qu’elles renferment, parfois sauvent des vies, évitent des procédures coûteuses dispensent de traitements fastidieux, etc. Voilà pourquoi la publication de ses périodiques doit se faire sans délai et l’accès aux pairs s’avérer décisif. L’avènement des technologies et d’internet contribue à développer l'accessibilité aux ressources pour le domaine bio médical, mais aussi pour tous les autres. Le fait de pouvoir consulter des articles périodiques grâce à une connexion VPN ou un proxy au lieu d’aller en bibliothèque et faire une recherche dans l’index d’un périodique, permet accélérer le processus informationnel, le processus de la recherche, ainsi que la formation.

Publications de fiction

La publication en périodique est également un outil utilisé en fiction. En France, par exemple, dès le XIXe siècle, plusieurs journaux publient au sein de leurs pages des rubriques littéraires où étaient publiés des chapitres de romans. Vers la fin des années 1830, La Presse et Le Siècle, deux journaux fondés à l’époque, publient respectivement La Vieille Fille de Balzac et Le Capitaine Paul d’Alexandre Dumas[7]. À partir de 1840, la pratique se généralise et presque tous les auteurs publient leurs œuvres à travers ce système de journaux quotidiens ou hebdomadaires. Certaines des plus grandes œuvres de la littérature furent publiées en roman-feuilleton comme Le comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas, qui fût publié dans le Journal des Débats[7]. Toujours en France, la fin du XIXe siècle voit l’expansion du nombre de genres littéraires explorés dans les feuilletons, comme le policier et la science-fiction, ainsi que de l’origine des textes publiés. Certains héros étrangers comme Sherlock Holmes voient leurs aventures traduites et publiés dans les quotidiens français[7]. À partir du début du XXe siècle, les journaux se voit de plus en plus concurrencés par de nouvelles formes de médias et la publication de roman-feuilleton se voit décliner avec eux.

Ce n’est pas pour autant la fin de la publication d’œuvres de fiction dans les périodiques. Au cours des années 1900, des magazines voient le jour qui mettent une autre forme de fiction de l’avant, la bande dessinée.  

En 1959, le magazine Pilote est fondé par René Goscinny, Albert Uderzo et Jean-Michel Charlier. C’est un magazine pour jeunes qui mélange nouvelles, jeux et reportages. La bande dessinée y occupe une place importante dès le début et continue de prendre de l’ampleur pour devenir le principal type de publication du magazine à la fin des années 60. C’est dans ce magazine que se feront les débuts du personnage d’Astérix le Gaulois. C’est aussi dans Pilote que d’autres personnages comme Iznogoud et Achille Talon feront leur apparition avant que leurs aventures soient publiées en tomes compilés[8].

Le bédéiste belge Hergé a aussi publié plusieurs œuvres dans des revues périodiques. Au début de sa carrière, Hergé publie ses dessins dans le mensuel Le Scout Belge entre 1926 et 1929. Il y publie entre autres un prototype de ce qui deviendra plus tard son héros Tintin. À la fin de 1928, le journal quotidien Le XXe Siècle demande à Hergé de créer une rubrique jeunesse qui serait publié de manière hebdomadaire. Le supplément fût nommé Le Petit Vingtième et c’est dans ses pages qu’Hergé publie à partir de janvier 1929 la première aventure officielle de Tintin, Tintin au pays des Soviets[9]. Durant l’occupation de la Belgique pendant la Seconde Guerre Mondiale, les aventures de Tintin sont publiées dans le quotidien Le Soir, ce qui attire des ennuis à Hergé en raison de certaines positions du journal alignées sur celles des Nazis. Hergé fait son retour en publication périodique en 1946 où la suite des histoires de Tintin sont publiées dans le journal hebdomadaire Tintin[9].

Au Japon, la publication hebdomadaire est toujours utilisée de nos jours dans le domaine des mangas. Cependant, la publication en périodique des bandes dessinées japonaises remonte à la fin du XIXe siècle. Le dessinateur britannique Charles Wirgman, qui s’installe au Japon en 1861, commence à publier le mensuel Japan Punch peu de temps après son arrivée et le premier magazine complètement japonais, le Tokyo Puck, voit le jour en 1905[10]. À cette époque, les magazines publient surtout de courtes histoires comiques en quatre cases. Après une perturbation durent la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie revient en force à partir des années 50[10]. Contrairement à l’Europe où beaucoup de bandes dessinées sont publiées dans des journaux, les magazines de mangas sont la propriété de maisons d’éditions qui les publient. Aujourd’hui certaines de ses maisons d’éditions publient plusieurs dizaines de magazines différents dédiés à divers publics[10].

Un des magazines les plus connus est le Shonen Jump, qui appartient à la maison d’édition Shueisha. Fondé en 1968, le Shonen Jump est l’un des 17 magazines dédiés aux mangas appartenant à la maison d’édition Shueisha[10]. Comme beaucoup de magazines depuis la deuxième moitié du XXe siècle, le Shonen Jump mise sur les histoires en longueur qui sont publiées à chaque semaine sur plusieurs années. L’une des publications phares du Shonen Jump est la série One Piece, qui est publiée hebdomadairement depuis 1997[11].

Périodiques électroniques

Le terme de périodique électronique est utilisé pour nommer ce type de publication, bien qu'en fait il s'agisse d'une édition numérique. Il y a de nombreuses façons d'accéder à ce type de publications sur Internet. La plupart du temps, il existe une version spécialement conçue pour le Web que les lecteurs peuvent télécharger sur leur ordinateur via un abonnement, payant ou non. Elle est alors envoyée directement à l'abonné le jour de sa parution. Il peut également être possible également d'y accéder gratuitement en bénéficiant d'une autorisation spéciale comme membre d'une association, étudiant ou professeur. C'est parfois le cas pour les revues scientifiques. Il existe également des applications téléchargeables sur les tablettes et smartphones. Celles-ci donnent accès au contenu de ces périodiques via un format différent afin d'assurer une meilleure lisibilité sur ce type d'appareil. Il existe également des médiathèques, publiques ou privées, qui permettent à leurs utilisateurs de les consulter librement et gratuitement.

De nombreux périodiques n'existent aujourd'hui qu'en version électronique : ce sont les « tout en ligne » (pure players).

Tel que mentionné précédemment, le périodique électronique, accessible par le biais d’une base de données ou d’une bibliothèque numérique, rend disponible l’information à un plus grand nombre d’usagers et usagères. Le lien entre l’information et la technologie est indissociable[12]. Le périodique électronique, le besoin d’information, marie la technologie et l’accessibilité. Il sert d’exemple pour deux arguments de Lankès, dans son ouvrage: Exigeons de meilleures bibliothèques[13]. En effet, les bases de données dans lesquelles se trouvent les périodiques, en général, font partie d’un lot. Ainsi les bibliothèques ont plus d’information à prix moindre. La quantité d’information retenue dans ses bases sont beaucoup trop dispendieuses pour l’usage d’un seul individu[13].

Quant à leur contenant, depuis leur apparition certaines normes de présentation ont été adoptées pour en faciliter la classification. Par exemple, un périodique électronique doit contenir un résumé et ce minimalement dans la langue originale de la publication, sinon dans plusieurs langues dites internationales. Ce critère est d’autant plus important pour les professionnels de l’information à qui revient le devoir de classification et d’organisation de l’information.

Périodicité

Des termes différents désignent les périodiques différents selon leur périodicité de parution :

  • un journal, ou quotidien, paraît tous les jours ou presque tous les jours (certains ne paraissent pas le dimanche, par exemple) ; soit 365 fois par année, si tous les jours ;
  • un bihebdomadaire paraît deux fois par semaine ; 104 fois par année, 2 fois par semaine ;
  • un hebdomadaire paraît une fois par semaine ; 52 fois par année, à toutes les semaines ;
  • un quinzomadaire paraît toutes les deux semaines ; 26 fois par année, à toutes les 2 semaines ;
  • un bimensuel paraît deux fois par mois ; 24 fois par année, à toutes les 15 jours ;
  • un mensuel paraît une fois par mois ; 12 fois par année, à tous les mois ;
  • un sesquimestriel (ou semi-trimestriel)[14] parait un nombre entier de fois par année (demi-entier de mois) ; 8 fois par année, à tous les 1,5 mois ;
  • un bimestriel paraît tous les deux mois ; 6 fois par année, aux 2 mois ;
  • un trimestriel paraît tous les trois mois ; 4 fois par année, aux 3 mois ;
  • un quadrimestriel paraît tous les quatre mois ; 3 fois par année, aux 4 mois ;
  • un semestriel paraît tous les six mois ; 2 fois par année, aux 6 mois ;
  • un annuel paraît une fois par an ; 1 fois par année, aux 12 mois ;
  • un bisannuel paraît une fois tous les deux ans ;

D'autres périodicités sont possibles :

  • Quinquamestriel, 2,4 fois par année, aux 5 mois ;
  • Octomestriel, 1 à 2 fois par année, aux 8 mois ;
  • Hivernal, 1 fois par année, l'hiver ;
  • Printanier, 1 fois par année, le printemps ;
  • Estival, 1 fois par année, l'été ;
  • Automnal, 1 fois par année, l'automne ;
  • Novimestriel, à toutes les 0,75 années, aux 9 mois ;
  • Quindémestriel, à toutes les 1,25 années, aux 15 mois ;
  • Sesquiennal, à tous les 1.5 années, aux 18 mois ;
  • Vicemestriel, 1,5 fois par 2 ans, aux 20 mois --> Erreur ? 1,5 fois sur 2 ans = 3 fois en 4 ans = 3fois sur 48 mois = 1 fois par 16 mois. contradiction... ;
  • Biennale, à tous les 2 ans ;
  • Triennal, à tous les 3 ans ;
  • Quadriennale, à tous les 4 ans ;
  • Quinquennal, à tous les 5 ans ;
  • Sexennal, à tous les 6 ans ;
  • Septennal, à tous les 7 ans ;
  • Octennal, à tous les 8 ans ;
  • Novennal, à tous les 9 ans ;
  • Décennal, à tous les 10 ans ;
  • Undécennal, à tous les 11 ans ;
  • Duodécennal, à tous les 12 ans ;
  • Quindécennal, à tous les 15 ans ;
  • Vicennal, à tous les 20 ans ;
  • Tricennal, à tous les 30 ans ;
  • Quadragennal, à tous les 40 ans ;
  • Quinquagennal, à tous les 50 ans ;
  • Sexagennal, à tous les 60 ans ;
  • Septuagennal, à tous les 70 ans ;
  • Octogennal, à tous les 80 ans ;
  • Nonagennal, à tous les 90 ans ;
  • Centennal, à tous les 100 ans ;
  • Millennal, à tous les 1000 ans.

Hebdomadaire

Une publication hebdomadaire paraît une fois par semaine.

Exemples de titres hebdomadaires francophones :

France

Belgique

Afrique

Bimensuelle

Une publication bimensuelle paraît deux fois par mois, le plus souvent le premier et le quinze du mois.

Exemples de titres bimensuels :

Mensuel

Une publication mensuelle paraît une fois par mois. La plupart des mensuels sont mis en vente en fin de mois ou en tout début de mois.

Exemple de titres mensuels :

Certains titres assimilés aux mensuels ne paraissent pas précisément chaque mois. Ainsi, des titres déclarés « mensuels » peuvent ne paraître que onze ou dix fois par an. Ces titres peuvent choisir (ou non) de diffuser des numéros dits « doubles » (à pagination augmentée) ou « hors-série » (généralement thématiques, servis aux abonnés ou non), publiés pendant la période estivale, soit un numéro pour deux mois d'été consécutifs.

De façon similaire, d'autres types de publications que les mensuels, par exemple les quotidiens gratuits distribués en France, cessent généralement de paraître pendant une partie de la période estivale.

Hors Aides publiques ou privées, parmi les ressources principales des périodiques (abonnement, vente au numéro, ou publicité), les deux dernières surtout peuvent être des facteurs variables selon la période de l'année, et influer sur le choix de périodicité réelle.

La baisse des recettes publicitaires est souvent un facteur plus important que la chute des ventes à certaines périodes.

Mais des lettres d'informations dites confidentielles, ou des titres très spécialisés, servis uniquement par abonnement, peuvent aussi interrompre périodiquement leur parution par manque de sujets à publier, lorsque l'activité économique ou institutionnelle du secteur couvert est insuffisante : en période estivale ou en période des fêtes de fin d'année.

Exemples de titres « mensuels » à périodicité « mixte » :

  • Création numérique (a cessé de paraître, deux numéros doubles, datés déc.-jan. et juil.-août, un hors-série thématique annuel restant disponible en kiosques en décembre et janvier) ;
  • Pixel (a cessé de paraître, même dispositif que Création numérique) ;
  • Création numérique / Pixel (issu de la reprise des thèmes des deux titres précédents, dix numéros par an, dont deux bimestriels à pagination identique à celle des mensuels, datés décembre-janvier et juillet-août.

Bimestrielle

Une publication bimestrielle paraît tous les deux mois.

Exemples de titres bimestriels :

Trimestrielle

Une publication trimestrielle paraît tous les trois mois.

Exemples de titres trimestriels :

Quadrimestrielle

Une publication quadrimestrielle paraît tous les quatre mois.

Exemples de titres quadrimestriels :

Semestrielle (ou biannuelle)

Une publication semestrielle paraît tous les six mois (soit deux fois par an) ; tandis que biannuelle peut signifier aussi deux fois par an, ou bien tous les deux ans.

Exemple de titres biannuels

Autres fréquences de parutions

Il existe aussi des titres à parution annuelle, quadriennale, etc. La Bougie du sapeur ne paraît par exemple que tous les quatre ans, le des années bissextiles du calendrier grégorien.

Certains titres ont une parution irrégulière, d'autres (appelés one shot) ne paraissent qu'une fois.

Les interruptions temporaires régulières (renouvelées chaque année) caractérisent aussi certaines publications mensuelles. Ces titres alternent, par exemple, la périodicité mensuelle avec, une ou deux fois l'an, une périodicité bimensuelle.

Notes et références

  1. « Periodical », sur ODLIS — Online Dictionary for Library and Information Science, ABC-Clio (consulté le )
  2. « Manuel de bibliographie. Louise-Noëlle Malclès », The Library Quarterly, vol. 41, no 1,‎ , p. 77–77 (ISSN 0024-2519 et 1549-652X, DOI 10.1086/619925, lire en ligne, consulté le ).
  3. Patrick Eveno, La Presse, PUF/ Humensis, coll. « Que sais-je ? », , 3e éd. (ISBN 978-2-13-080962-3), p. 59-62
  4. « La presse en France – Faits et chiffres » Accès libre,
  5. Marcel Lajeunesse, « Les périodiques en bibliothéconomie : revues scientifiques et bulletins d’information », Documentation et bibliothèques, vol. 23, no 1,‎ , p. 27–33 (ISSN 2291-8949 et 0315-2340, DOI 10.7202/1055292ar, lire en ligne, consulté le )
  6. Robert Aubin, « Les 200 visages des bibliothèques de la santé », Documentation et bibliothèques, vol. 41, no 2,‎ , p. 77–82 (ISSN 0315-2340 et 2291-8949, DOI 10.7202/1033295ar, lire en ligne, consulté le )
  7. a b et c Éditions Larousse, « feuilleton - LAROUSSE », sur www.larousse.fr (consulté le )
  8. Encyclopædia Universalis, « Biographie de RENÉ GOSCINNY (1926-1977) », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  9. a et b Encyclopædia Universalis, « Biographie de HERGÉ », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  10. a b c et d Matthieu Pinon et Laurent Lefebvre, Histoire(s) du manga moderne: 1952-2024, Ynnis éditions, (ISBN 978-2-37697-498-7)
  11. (en-US) Matt Alt, « How Weekly Shōnen Jump Became the World’s Most Popular Manga Factory », The New Yorker,‎ (ISSN 0028-792X, lire en ligne, consulté le )
  12. Lyne Da Sylva, « Genèse et description des bibliothèques numériques », Documentation et bibliothèques, vol. 59, no 3,‎ , p. 132–145 (ISSN 0315-2340 et 2291-8949, DOI 10.7202/1018843ar, lire en ligne, consulté le )
  13. a et b Lankes, R. David, 1970- et Traduction de : Lankes, R. David, 1970-, Exigeons de meilleures bibliothèques : plaidoyer pour une bibliothéconomie nouvelle (ISBN 978-2-924925-06-5 et 2-924925-06-1, OCLC 1063918770, lire en ligne)
  14. « Périodicité inusitée », sur Antidote, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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