2023-003

De Mi caja de notas

Martes 3 de enero 2022

Top of mind
Candidature[1] atelier photo aux Beaux-Arts_de_Paris w Regina Virserius :
  • Plasticienne de formation, aujourd’hui son travail s’organise essentiellement sur l’image photographique et la vidéo.
  • La notion du temps est une préoccupation récurrente dans le travail de Regina Virserius : le temps qui passe, qui nous transforme, qui nous met en perspective à travers le corps, le paysage, les lieux, les objets, les rituels.
  • Par ailleurs, les réflexions postmodernistes et l’oeuvre des structuralistes, comme Foucault et Deleuze ont contribué à apporter, à la plupart de ses projets, leur dimension conceptuelle. Ces influences diverses, plastiques, artistiques et intellectuelles, son attirance pour ce que l’on nomme « la photographie tableau » ont donc été déterminantes dans la construction de son parcours artistique. De manière générale, dans le travail d’artiste, Regina Virserius cherche à traiter la question fondamentale de la perception du réel et de sa transformation par la photographie, l’illusion optique. Les corps, les portraits, les paysages, les objets, les natures mortes sont imprégnés de cette immobilité qui donne au sujet, quel qu’il soit et par son isolement photographique, une présence intemporelle et une signification qui dépassent le sujet lui-même. C’est sur ces bases que l’artiste conçoit la fabrication de l’image photographique, en l’inscrivant dans une approche résolument plasticienne.

Une année avec la Callas

1er rendez-vous avec Maria Callas qui a su insuffler densité et profondeur à ses héroïnes comme personne ne l’avait fait auparavant. Elle leur prêta de la crédibilité et une dimension dramatique. Ses interprétations étaient d’une absolue sincérité.

Maria Callas, La Divina, soprano, en 1965 ((New York, 2 décembre 1923 – Paris, 16 septembre 1977) ©Getty - Photo Bettmann

2022-01-03 Aurélie Moreau - Stars du Classique : Maria Callas, la divina